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  Dernière mise à jour : 9 juillet 2012

La rue de l'Eglise
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La Haute-Maison - 1

La Haute-Maison du fond des livres...
Source :
Histoire du village de Woippy près Metz par Nérée Quépat. Metz, 1878.
Chapitre « Histoire générale, militaire et anecdotique de Woippy », pages 40-42.


En 1668, pendant que l’armée française envahissait la Franche-Comté qu’elle conquit en vingt-deux jours, un parti de cavaliers espagnol se rua sur Woippy dont l’héroïque défense mérite de prendre rang parmi les plus beaux faits d’armes qu’ait vus le pays messin.
La relation de ce combat nous a été laissé par N. Dubreul et Joseph Ancillon.

Le 29 mars, qui était le jour du Jeudi-Saint (dit N. Dubreul) (1), dix-huit escadrons de cavalerie ennemie vinrent au village de Woippy et y mirent le feu. Il y eut vingt-quatre maisons et huit (2) granges brûlées ; une femme périt misérablement dans les flammes.
Quoiqu'il y eut fort peu d'habitants restés dans le village, les uns étant à la ville et les autres à leur travail, ceux qui se trouvèrent au logis firent une si vigoureuse résistance et se défendirent si vaillamment que plus de quarante des ennemis restèrent sur le carreau. Le commandant de la troupe et quelques officiers (3) furent au nombre des morts, sans compter les chevaux tués sous eux.
On nomme expressément, parmi les vaillants habitants de Woippy qui préservèrent ce qui resta du pillage, les Srs Jean Thomas qui d'un seul coup de fusil tua le commandant et un des soldats qui voulaient à toute force briser la porte de sa maison pour l'incendier, Woirin Lapied (4), François Mangenot (5) et trois autres paysans qui se retirèrent à la Haute-Maison, quoique le feu fût déjà dans une des chambres, et qui, de la terrasse, tuèrent ou blessèrent mortellement quantité des ennemis.

(1) Recueil journalier de N. Dubreul. (Folio 178 verso et 179 recto, du tome III des Mémoires sur Metz (Recueil de pièces par D. Sébastien Dieudonné).
(2) D'après J. Ancillon (Recueill journalier de ce qui s'est passé de plus mémorable dans la cité de Metz, pays messin, et aux environs de 1656 à 1674). - Voy. t. I, p.p. 50, 51, il y eut vingt-sept maisons brûlées et trois granges seulement.
(3) C'était, dit Ancillon, Marguerite Mangenot, femme d'Antoine Drapier, habitant de Woippy.
(4) Selon le même auteur, cette expédition coûta aux Espagnols leur commandant et quarante-trois cavaliers et officiers, tant tués que blessés.
(5) La famille Lapied subsiste toujours à Woippy ; elle est fort honorablement représentée par les deux frères François et Nicolas Lapied ; un troisième frère, mort en 1855, a laissé plusieurs enfants mâles.
(6) La famille Mangenot subsiste également et compte parmi les plus importantes du village.
Description de la Haute-Maison
Source : Histoire du village de Woippy près Metz par Nérée Quépat, 1878.
Itinéraire historique et archéologique (pages 153 – 156)

Ad. Bellevoye
Grand donjon carré (1) d’un aspect massif et imposant.
Il s'appuie à l'angle sud sur un énorme contrefort d'une parfaite conservation, formé de larges pierres à grain dur.
Bien que datant du milieu du quinzième siècle, ce monument qui cependant a été médiocrement entretenu depuis la Révolution, est toujours solide et pourra, croyons-nous, subsister encore longtemps.
La façade donne sur la rue de l'Eglise. On y voit une porte (2) d'entrée assez basse, sise à l'angle droit et surmontée de trois écussons (3) presque entièrement effacés et par conséquent indéchiffrables.
A gauche de cette porte, au rez-de-chaussée, s'ouvrent deux fenêtres (4) qu'on a élargies pour la commodité des locataires, mais qui précédemment étaient très hautes et divisées respectivement en deux parties par des meneaux en pierre (comme le sont encore celles du premier étage).
Heureusement que malgré la transformation de ces fenêtres, on a respecté les doubles arcades trilobées qui les surmontent ; ces arcades sont bien conservées.
Les deux fenêtres jumelles du premier étage sont demeurées dans leur état primitif (5), tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, et sont surmontées de doubles arcades trilobées identiques à celles du rez-de-chaussée.
(1) Sa hauteur est de 14 mètres, de sa base au rebord de la toiture.









(2) Elle mesure : Hauteur : 2, 20 m ; Largeur : 1, 30 m
(3) Ils ont la forme d'un triangle renversé et mesurent 0, 21 m de large sur 0, 27 m de haut.
(4) Ces deux fenêtres éclairent une vaste pièce dont l’élévation intérieure est de 3, 50 m.



(5) Elles ont 1, 18 m de hauteur sur 1, 25 m de largeur.
Jadis elles étaient fermées, chacune, par cinq barreaux en fer disposés transversalement.
Ces fenêtres éclairent une vaste pièce qui a 3, 70 m de haut, 6 mètres de large et 7 mètres de long. Une banquette de pierre de 0, 70 m de haut borde cette pièce au-dessous des fenêtres, tourne ensuite à l'angle et s'arrête à une cheminée de 1, 15 m de haut sur 1, 80 m de large. Derrière cette pièce, se trouve un cabinet dont la fenêtre, surmontée d'une seule arcade trilobée mesure 1, 40 m de haut sur 0, 60 m de large.
Le second étage comprend une pièce spacieuse qui sert aujourd'hui de grenier et est éclairée par six fenêtres (6), dépourvues d'ornementation.
Le troisième étage, transformé actuellement en pigeonnier et recouvert d'une toiture en tuiles, se composait anciennement d'une plate-forme crénelée.
Les créneaux, au nombre de treize (7), sont intacts, mais bouchés provisoirement.
Nous donnons en tête de ce volume une planche gravée par un artiste de talent, M. Ad. Bellevoye, qui reproduit (8) avec la plus entière fidélité ce curieux monument que nous avons fait, en outre, photographier, en 1876, par M. Collet, à Metz.
Avant la Révolution, la Haute-Maison faisait partie des domaines du Chapitre de la cathédrale (Voy. Les Trescens du Chapitre à Woippy) ; elle a maintenant pour propriétaire M. Nicolas Barthélemy, ancien juge au tribunal civil de Metz.
(6) Trois, dont une bouchée par du mortier, donnent sur la rue de l'Eglise et trois autres du côté opposé, où est la fontaine. Elles ont 1 mètre de haut sur 0, 60 m de large.
(7) Un pan du monument, celui de gauche, qui donne sur la fontaine, comprend, particularité curieuse, quatre créneaux ; les autres pans, trois seulement ; ils ont de 0, 62 m à 0, 65 m de large sur 0, 83 m de haut.
Les murs de la Haute-Maison ont à, 65 m d’épaisseur au rez-de-chaussée et 0, 55 m au second étage. Ce monument, qui est carré, avons-nous dit déjà, a 33, 94 m de circonférence.
(8) On trouve, au musée Migette (hôtel de ville de Metz), un dessin de M. Migette représentant la Haute-maison. Il est daté du 16 septembre 1867.


(MÉMOIRES DE L'ACADÉMIE NATIONALE DE METZ, année 1971)
 

La Haute-Maison (Alph. Wioland & Cie, Mulhouse-Metz - 1905)
On aperçoit à droite au milieu de la rue, une voie étroite de chemin de fer, elle reliait le fort Kameke (Déroulède) à la gare de Devant-les-Ponts.
Voir plan du réseau « Voie étroite - Nord de Metz » :
| clic |
 

La Haute-Maison au début du XXème siècle

La Haute-Maison dans les années 1950


 

Ouverture du sous-sol pour installation de deux garages

 

Jacques-Bénigne BOSSUET et la Haute-Maison

En 1655, Woirin Lapied prend à bail pour trois années la métairie de la Haute-Maison appartenant à Bossuet.
Ci-dessous : « Minute de bail entre vénérable Messire Bénigne Bossuet | clic |, chanoine et grand archidiacre de l'église cathédrale de Metz, et Woirin Lapied, laboureur à Woippy, le 26 avril 1655. » (AD. 3E 4553)
(Transcription : René MOGNON, avril 1989. L'orthographe et la syntaxe de l'époque ont été respectées)
26 april 1655




Pardevant les notaires Royaux héréditaires establys
à Metz et y résidents soubsignés a comparut personnellement
vénérable et discrète personne Messire Bégnigne de Bossuet
chanoine et grand archidiacre de l'église cathédralle
dudit Metz, tressencier à Woippy, lequel a volontairement
recognu et conféssé avoir laissé comme par ces présentes
il laisse à tiltre de bail pour trois années consécutifves
l'une suivant l'autre et sans interval commençeantes
au jour de St-Georges le martir derniere passée et finissantes
à pareil jour lesdites trois années révolues et expirées
à Woirrin Lapied laboureur demeurant audit Woippy et à
Marguerite Lasoury sa femme de luy suffisamment
licencée et authorisée pour s'obliger avec luy aux présentes
de laquelle licence elle a dit avoir agréable iceulx
présents et acceptants pour eulx leurs hoirs et ayants
cause, c'est assçavoir une méterrie de terre labourable
scituée audit lieu et ban de Woippy consistante
en maison, jardins, chenevières, terres labourables,
preys pasturaulx et généralement en quoy elle puisse
consister, laquelle lesdits preneurs tiennent à
tressent des sieurs du chapiltre de ladite cathédralle
et laquelle méterrie ledit sieur laisseur a pris à
tressent dudit chapître et est faict le présent bail
ausdits preneurs à charge et condition de bien maintenir
et entretenir en bon et suffisant estat lesdites maison
et despendances, jardins, chenevières, terres, preys
pasturaulx et despendances en bon et suffisant estat
sans les laisser dépérir ny déteriorer ny changer
de nature et de bien cultiver et labourer lesdites
terres a droict coup et saison, icelles fumer et
amander pour rendre le tout au bout desdites
trois années en bon et suffisant estat au dire d'experts
et gens a ce cognoissants ; et acquitteront lesdits
preneurs ladite méterrie de toutes charges anciennes
dont elle peult estre vallablement obligés et notamment
de cinq quartes de seigle deues par chacun an au seigneur
abbé de St-Vincent et encore pour et moyennant
la quantité de quarante-quatre quartes de grain,
les deux parts bled tel qu'il croistera sur lesdits
héritages et du plus beau après la semence, et
l'autre thiers avoine, le tout bon grain bien court,
vanné, hautonné et recepvable que lesdits preneurs
seront tenus comme ils se sont obligés solidairement
de payer et délivrer par chacun an sur les greniers
dudit sieur laisseur à leurs frais et despens et de
livrer ledit grain à la mesure de l'hospital St-Nicolas

en neuf-bourg. Et ne pourront lesdits preneurs partir
despartir ny mettre hors de leurs mains ny relaisser
à qui que ce soit les choses despendantes du présent bail
sans l'exprès adveu et consentement dudit sieur laisseur
à peine de privation et de tous despens, dommages et intérest
qui en pourvoient résulter. Et le premier payement
dudit tressent se fera au jour de St-Martin de
l'année prochainne que l'on comptera mil six cents
cinquante six et de là en avant pendant et durant
lesdites trois années. Et sont réservées au présent bail
les trois fff signiffiantes feu, foudre et force,
desquelles si elles arrivoient lesdits preneurs seront
obligés d'en donner advis audit sieur laisseur trois
jours après pour en estre faict visite par experts
dont les parties conviendront et ce aux frais et despens
desdits preneurs, pour sur la visite et rapport
qui en sera faict y estre pour veu et y avoir par
ledit sieur laisseur tel esgard que de raison pour veu
que l'accident ne soit arrivé par leur deffault
ou de ceulx de leur commandement, auquel cas
ledit sieur laisseur n'en sera attenu ains demeurera
à la charge desdits preneurs, Estant réservé audit
sieur laisseur la moitié de tous les fruicts
qui croisteront sur les arbres des jardins despendants
de ladite méterrie, laquelle moitié lesdits preneurs
seront obligés de cueillir et faire cueillir et
charoyer au logis dudit sieur laisseur à leurs frais
et despens, attendu qu'ils auront l'autre moitié
pour eulx ; seront en outre obligés lesdits preneurs
de nourir et eslever six poulles dindes, une
douzainne de volailles et une truye comme aussy
les cochons qui en proviendront jusques à ce qu'ils
ayet un an et en useront comme bon père de famille
et comme si lesdites codindes, volailles, truye et cochons
leur appartenoient en propre, et leur sera fourny [et]
délivré pour la nouriture desdits bestiaux et
payera ledit sieur laisseur la cotte de la contribution
desdits truye et cochons, à toutes lesquelles
clauses et conditions lesdits preneurs ont promis
de satisfaire de point en point et mesme de
ne tenir ny prendre de bestail à chastel d'autre

que dudit sieur laisseur sinon à son refus et qu'il ne
leur en voudroit mettre ez main, le tout sur l'obligation
solidaire de tous et uns chacuns leurs biens meubles
et immeubles présents et futurs qu'ils ont submis,
renonçeants au bénéfice de division, ordre de droict et
de discution et à toutes exceptions à ce contraire
et moyennant l'accomplissement entier de toutes
lesdites clauses et conditions de la part desdits
preneurs ledit sieur laisseur en la dite qualité
tressencier leur a promis la garantie du présent
bail pendant lesdites trois années sans plus,
sur l'obligation de tous ses biens qu'il a
pareillement submis etc. Faict et passé audit Metz
le vingt sixième jour d'apvril mil six cents
cinquante cinq et ont signés excepté ladite La Sourry
qui a déclaré ne sçavoir escrire de ce enquise
a faict sa marque et seront tenus lesdits
preneurs de fournir à leurs frais audit sieur
laisseur lettre du présent bail dans quinze jours
prochains etc.

BOSSUET    WLAPIEDZ   S

Trois années plus tard, en 1658, Voirin Lapied prolonge le bail de la métairie de la Haute-Maison de trois autres années.
Ci-dessous : « Reconnaissance du 21 février 1658 pour Messire Jacques Bossuet, chanoine et grand archidiacre de l'église cathédrale de Metz. » (AD 3 E 4555)
(Transcription : René MOGNON, avril 1989. L'orthographe et la syntaxe de l'époque ont été respectées)
Reconnaissance du 20 février 1658

Ce jourd'huy vingtunème febvrier 1658, Voirin Lapied
de Woippy, est demeuré d'accord de reprendre la métairie
de la Haute Maison dudit Woippy pour trois années commenceant
à la St. Georges prochainement venant et finissant à pareil
jour 1661. Moyennant trente quartes de bled, quinze d'avoine,
les droictures deues à St.Vincent acquittées et dont il
rapportera les quittances par chacun an, et de plus une quarte
de bons pois, deux bons chappons gras et deux poulles
grasses, quatre livres de bon chanvre femelle et deux
livres beurre frais, le tout par chacun an et la moitié
des fruicts. Oultre ce, ledit Lapied reconoit avoir
du bestail, sçavoir une vache de la valeur de
quatre-vingt-cinq francs et demi et deux torios de
quarante francs les deux, des cochons de douze
francs, des chèvres de vingt francs ; de plus il
reconoit devoir cinq pistolles vaillant vingt-sept
francs et demi pièce pour un cheval et pour
lesquelles tous les chevaux sont hypotecqués.
Et à l'advenir, il n'y aura plus de cheptel de cochons.
Et pour cela, il s'oblige de me donner un porceau
gras de deux ans portant trois doigts à larder.
Et me nourira les quatre cy-dessus jusques au temps
de les faire engraisser ; faict lesdits jours et an, et
a signé ledit Lapied, sa femme présente, et pour
seureté tout son bestail et tous ses bleds ensemencés. Signé
Bossuet, V. Lapied.
De mesme tous ses biens meubles et immeubles
demeureront hypotecqués et en cas de non-paiement
pourra estre mis hors de ladite ferme, faict
lesdits jour et an cy dessus, aussi valablement que
si c’estoit par devant notaire.

W Lapied , (et non visible sur le document : Lallement, Notaire).


Cette reconnaissance a été établie entre BOSSUET et LAPIED,
puis donnée au notaire.

Quelques archives de la Haute-Maison

( Recherches et transcriptions effectuées par M. René MOGNON, de la Société d'Histoire de Woippy )

Dates Désignations Sources
1293 « Li sires Poinces de Coloigne p.b. (prise de ban) sus la maixiere et sus lou jardin daier ke sieent ancoste sa maison à Wapey, davant sa grant maison, k’il ait aquasteit a Werneson c’on dist Boinsemel, permei XVIII d. de cens, et e.c.l.e. en. l’a.l.d. (ensi comme l’acte écrit en l’arche le disait).
S’agit-il de la Haute-Maison ?…
Die Metzer Bannrollen, tome 2, Dr Karl Wichmann, 1910.
Année 1293, acte 688, page 466.
24 décembre 1481 La « grande maison » est vendue par Jacomette femme Nemery Renguillon, échevin, à Stevenin le Lainier, écrivain, qui doit (le prix du bail) à Arnoult de Clery. ADM G 814
8 novembre 1515 Partage d'héritage de feu Jean Michelin, ancien maire de Woippy. Rue de l'Eglise, lieu-dit « en Buron ». ADM G 818
14 avril 1608 Jean Mangeot, chanoine, possède la métairie « c’ondit la haute maison de Clery » du nom de son « probable » premier chanoine trescencié*.
* Trescencié : membre du chapitre de la cathédrale de Metz jouissant d'une portion, dite trescens, du domaine de cette église. (Régime ancien de la propriété, Auguste Prost, 1881).
ADM G 814
octobre 1624 Achat d'un jardin derrière le pressoir ADM 3 E 3401
28 septembre 1664 Partage « Barba », ... un jardin situé derrière la maison du pressoir appelé jardin Boda. ADM 3 E 2720
11 mars 1681 Bail de la Haute-Maison (colombier au-dessus) par Jean Geny, chanoine, à Pierre Delacour et Anne Barthélemy. ADM 3 E 3202
19 janvier 1760 Bail par Fabian Dulan De Candalle, chanoine, à Dominique Brion et Barbe Woirhaye. ADM 3 E 4784
20 août 1821
 
14 nov. 1821
Inventaire suite décès de Nicolas Boulland.
Vente Boulland... corps de bien situé bans de Woippy, Metz, Semécourt, composé de maisons, pressoir, jardins, terres, prés...
ADM 349 U 27
11 janvier 1822 Licitation et partage. Jean François André Auguste Boulland est acquéreur de la totalité des biens ci-dessus (pour 70 000 fr.). ADM 349 U 28
2 août 1832 Haute-Maison. Testament olographe de Michel Barthélemy. ADM 350 U 40
21 juin 1843 Inventaire à la requête de Nicolas Barthélemy, juge de paix au Tribunal de Metz, comme partiaire entre lui et Barbe Agnès Gueden épouse décédée le 12 juin 1843 à Metz.
Contrat de mariage Berga – 8 juin 1836. Décès de Nicolas Barthélemy son père en son vivant président du Tribunal. Jeanne Perrin épouse. Papiers : un corps de biens à Woippy et un à Norroy.
ADM 355 U 121
21 juillet 1857 Inventaire Boda. Mobiliers... etc... une maison à Woippy appartenant à M. Barthélemy. ADM 48 E 18
13 mars 1857 Dépôt de pièces. Famille Marcus, Pécheur, Barthélemy (uniquement les héritiers cités). ADM 48 E 180
9 juin 1856 Enorme dossier, affiches, journaux. Vente par licitation Marcus (et donc Boulland).
... dont une maison de maître, jardin et verger y attenant entre M. Barthélemy au midi, l’église au nord et le chemin du village au levant (cadastre section E, n° 616, 617, 618 et 615). Une autre petite maison de jardinier tenant à la maison de maître, section E, n° 619 en plan entre Barthélemy et Marcus.
ADM 48 E 178
     

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