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| La rue de Metz et la Cité "Le Martet" |
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| La partie nord de la rue de Metz est devenue la rue du Général-de-Gaulle le 6 décembre 1947. Par conséquent, la rue de Metz dont il est question dans cette page est la rue actuelle qui débute au carrefour des rues de la Gare et Rose-Marcus et se termine à l'entrée de Woippy aux Quatre-Bornes (La cité des Quatre-Bornes n'est pas incluse dans cette page et fait l'objet d'un chapitre indépendant.) | |||||||||||||||||
   La Croix de Mission 1904 A droite, la « route » de Metz, à gauche, le chemin qui mène à Maison-Neuve (future rue de la gare). Cette croix a été déplacée lors de l'installation de l'armoire électrique de commande des feux de signalisation du carrefour, elle est actuellement au croisement des rues Rose-Marcus et du Rucher (ci-contre). |
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 La rue de Metz (entrée du village) vers 1950 |
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Petite éphéméride de la rue de Metz des années 1950 (R.L. : Républicain Lorrain , LL : Le Lorrain ) Samedi 5 février 1955 Travaux en perspective. Des géomètres actuellement à l’œuvre dans la vaste étendue de terrain située rue de Metz, permettent d’envisager la prochaine construction de quelque 12 pavillons, ce qui résoudrait en partie le problème du logement. Ces travaux doivent, paraît-il, être terminés en fin d’année. (RL) Jeudi 24 mars 1955 Petit « Canada ». Les travaux de construction de la nouvelle cité, rue de Metz, ont commencé la semaine dernière. On annonce 130 logements, une école maternelle dans le même secteur ainsi que la construction de 300 logements en bordure de la ligne de chemin de fer. Joli présage pour la localité. (RL) Mercredi 20 avril 1955 Les travaux de construction de la nouvelle cité du « Petit Canada », rue de Metz, sont actuellement en pleine activité et sont accélérés grâce à l’emploi d’engins très modernes. Une centaine d’ouvriers sont occupés et ce n’est qu’un va et vient de camions amenant sur place tout le matériel nécessaire tandis qu’un bulldozer géant fait les rues entre les constructions qui feront un bel ensemble. Face à ces grands travaux, une autre maison vient de sortir de terre pendant que l’on procède à la démolition de l’immeuble Flérès, ce qui embellira l’entrée de la cité des Fraises. (RL). Mardi 9 août 1955 C’est une véritable fièvre de construction qui s’est emparée de Woippy ; les travaux avancent à une cadence accélérée. Les pavillons de la route de Metz se couvrent peu à peu de tuiles rouges alors que d’autres fondations sortent déjà de terre. Jeudi 9 février 1956 La cité s’embellit.  Au quartier dit « Le petit Canada », les travaux touchent à leur fin et sous peu, une colonie canadienne viendra prendre possession des logements nouvellement construits. La population de la cité des Fraises est toute prête à lui réserver le meilleur accueil. (RL) Samedi 3 mars 1956 L’agglomération de Woippy voit surgir de partout les immeubles collectifs et les constructions privées. Woippy se fond finalement avec Metz et la « frontière » devient imprécise. Parmi les dernières réalisations immobilières, signalons les cent logements construits récemment à l’intention de familles canadiennes. Il s’agit d’une série de petits bungalows agréables et coquets dont les premiers occupants ont emménagés hier après-midi. Voilà qui va créer une animation particulière le long de cette « route de Metz », petit Far-West, à l’image de tant de secteurs mosellans. (LL) Lundi 12 mars 1956  28 logements prêts à recevoir leurs locataires américains à Woippy. La première tranche des cent logements de Woippy, construits pour les Américains par la société « Coget Travoc », vient d’être terminée. Vingt-huit logements sont prêts à recevoir leurs habitants et le spécialiste Lœ, du « Metz Quartermaster Depot », a profité des premiers beaux jours pour emménager les premiers occupants de ces confortables bâtisses. La totalité de la construction a été réalisée par la société française, citée plus haut. La location, 100 à 200 dollars pour des logements de 3 à 4 pièces, a été ouverte par la « SOFITEC » (Société de financement technique). C’est à cette société immobilière que les militaires américains payeront directement leur loyer ; ils y sont tenus par un contrat de cinq ans renouvelable. On ne peut que trouver intéressante cette réalisation de Woippy car elle met directement à la disposition des habitants de Metz les appartements rendus vides par le départ des Américains pour leur nouveau quartier résidentiel. Sur notre photo : le sergent américain transportant ses pénates dans son nouveau logement. (RL) Mardi 14 mai 1957 Pour la première fois un mariage américain est célébré à la mairie de Woippy. Pour la première fois, samedi matin, à la mairie de Woippy, M. P. Copeaux, adjoint au maire, a uni deux Américains par les liens du mariage. La mariée est la fille du sergent et de Mme Joseph Chertek, qui habitent la cité américaine de Woippy. Le marié est le sergent Dereil L. Davis, stationné à Mayence, en Allemagne. M. Copeaux, qui est en même temps le directeur de l’école de garçons de Woippy, exprima dans une brève allocution, sa joie d’avoir officié son premier mariage américain, ce qui lui rappela le jour, où, pendant la dernière guerre, les troupes américaines libérèrent la commune. La cérémonie religieuse qui eut lieu, dimanche, à la chapelle de la caserne Colin à Frescaty, fut suivie d’une réception au Mess des sous-officiers. Les jeunes mariés habiteront Mayence. Nous leur présentons en même temps que nos félicitations, nous meilleurs vœux de bonheur. (RL) Jeudi 18 juillet 1957 Travaux. Une entreprise de travaux publics procède actuellement à la pose d'une canalisation route de Metz, depuis la cité des Quatre-Bornes jusqu'à l'angle de la rue de la Gare et de la rue du Général-de-Gaulle. Aussitôt ce travail achevé, il sera procédé à l'élargissement de ce tronçon de route, devenu trop étroit en raison de la circulation intense qui l'emprunte. Les usagers de la route ainsi que les riverains verront ainsi se réaliser le vœu que depuis longtemps ils avaient émis. (RL) Samedi 28 novembre 1959 Une pâtisserie-confiserie-boulangerie va s’ouvrir le 1er décembre, rue de Metz, aux abords de la cité des Quatre-Bornes. Il s’agit d’une succursale du magasin tenu par M. François Stadler, rue François-de-Curel à Metz. (RL) |
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 La Cité "Le Martet" à la fin des années 1950 (Editions Aériennes COMBIER IMP. MACON) |
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Quelques inscriptions au Registre du Commerce du Tribunal cantonal de Metz. Remarque : En décembre 1947, la nouvelle rue du Général-de-Gaulle engloba les numéros 2 à 46 (Immeuble Flérès) de la rue de Metz, de ce fait, toutes des inscriptions ci-dessous concernent bien la rue de Metz actuelle.
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Quelques annonces publicitaires
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| Petite chronique à partir de 1960 |
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| Jeudi 11 août 1966 Une nouvelle école de secrétariat technico-commercial s'ouvrira en septembre, 38, rue de Metz. Cette école, dirigée par une équipe de professeurs jeunes et dynamiques, mettra à la disposition des élèves du matériel d'avant-garde, un enseignement approfondi ainsi que divers avantages, tels que langues et livres gratuits, bibliothèques, réfectoire, etc. Une réunion d'information, tenue par les professeurs, ainsi qu'un directeur d'un école de secrétariat aura lieu vendredi, à 20 h., au café National, rue de Ladonchamps. Tous les parents ayant des enfants de 14 à 18 ans, sont conviés à cette soirée, en vue d'un exposé sur la nouvelle école, ainsi que les débouchés offerts par la carrière commerciale. (RL) Mardi 30 août 1966 Une école de secrétariat va s'ouvrir à Woippy : à ce sujet une réunion d'information aura lieu au café Genson, le mardi 16, à 20 h. 30, tous les parents ayant des enfants d'âge scolaire y sont cordialement conviés, une équipe de professeurs exposeront les buts et débouchés du secrétariat de nos jours. (RL) |
Lundi 3 octobre 1966
Ce cours, monté par Mlle Bastien, ancien professeur des cours Greff à Mondelange, accueille jeunes gens et jeunes filles au lendemain du certificat d'études ou au niveau d'une classe de cinquième. Déjà cent trente-deux élèves inscrits (sur les cent soixante prévus) vont se diriger vers les C.A.P. commerciaux : sténodactylo, aide-comptable, employé de banque ou de bureau ou vers le brevet dommercial. Mlle Bastien, au cours d'une sympathique inauguration de son école, entourée de ses professeurs, jeunes et dynamiques, a expliqué qu'elle voulait donner à ses élèves un enseignement complet dans lequel la culture générale et l'entraînement sportif auraient leur place. (RL) |
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