1er avril 1830
Adjudication définitive et à crédit. Lundi 12 avril 1830, trois heures après midi, au village de Woippy, dans la maison qui sera indiquée au son de la caisse, il sera procédé par devant Me André, notaire royal à Metz, place St-Louis, à la vente en détail ou en gros, de trois maisons contiguës avec jardins, situées à Woippy, et à l'adjudication en détail de vignes et croues situées au ban du même lieu. (JdMo)
Dimanche 2 mai 1830
Une partie de maison à vendre ou à louer, à Woippy, consistant en quatre chambres au premier étage ; un beau grenier, cave, etc, ayant vue sur les jardins. Il y aura facilités pour le paiement. S'adresser à Madame Charff, à Woippy, au-dessus du moulin. (JdMo)
Dimanche 6 juin 1830
Avis et annonces. Vente d'une garde-robe de femme, à Woippy, le dimanche 13 juin, vers quatre heures de relevée, après les offices de la paroisse de Woippy, il sera procédé à la vente de la garde-robe dépendant de la succession vacante de Madeleine Marchal, consistant en chemises, habillements en toile peinte, mousseline, tabliers, mouchoirs, coiffes, une petite chaîne et une bague en or, et autres objets de ladite garde-robe, portés au procès-verbal d'inventaire. Argent comptant, sans déplacements. (JdMo)
Mercredi 28 juillet 1830
Les bâtiments dits la Maison-Neuve, jardin en dépendant, contenant 81 ares (700 verges), situés près Metz, sur la route de cette ville à Thionville, propres à l'établissement d'une auberge, d'un commerce et de toute usine, et où il y a une très belle brasserie bâtie à neuf, avec trois chaudières, à vendre définitivement devant Me Rollin, notaire à Metz, en son étude, rue aux Ours, n° 3, le lundi 16 août 1830, deux heures après midi, pour en jouir de suite. (JdMo)
Dimanche 17 octobre 1830
A vendre à l'amiable, une belle ferme composée de maison de fermier, colombier, granges, écuries et autres bâtiments ; d'une autre petite maison ; de 66 hectares 4 ares 71 centiares de terres labourables ; de 4 hectares 56 ares 14 centiares de prés, de jardins, pâtis, chènevières et autres dépendances, le tout situé à La Maxe, commune de Woippy près Metz ; d'un revenu net de 2 500 francs par an. S'adresser, pour les renseignements, à Me Guevel, notaire à Metz, rue des Allemands, n° 32. (JdMo)
7 février 1831
Brasserie anglaise. MM. Pellier et Henderson viennent d'établir une brasserie dans les bâtiments de la Maison-Neuve, route de Thionville. Ils sont en meure de livrer à la consommation des bières blanches et brunes, 1 ère qualité, de Strasbourg, ainsi que du
Porter , façon anglaise, par tonneaux d'un quart d'hectolitre à 2 hectolitres, qu'il vendent à destination. (IdMo)
Vendredi 1er avril 1831
MM. Pellier et Henderson, de la brasserie anglaise à la Maison-Neuve, voulant éviter à MM. les consommateurs la peine de venir à leur établissement pour y faire leurs commandes, ont l'honneur de les prévenir qu'ils pourront s'adresser à Metz, chez Madame Goussin, marchande de modes, rue de la Tête-d'Or, n° 25, (ci-devant de la Vieille Intendance), où ils trouveront des échantillons de différentes qualités de bières,
Porter et
Ale en bouteilles et en cruchons. (IdMo)
Jeudi 17 novembre 1831
On parle beaucoup d'une scène assez scandaleuse que M. le curé de Woippy aurait excitée au sein du conseil municipal de cette commune, le vendredi 11 de ce mois. On y devait discuter sur l'inutilité de conserver à la sœur le logement que lui accorde la commune, et dès l'ouverture de la séance, M. le curé demanda à être entendu dans l'intérêt de la religieuse. On lui représenta qu'aucune personne étrangère au conseil municipal ne pouvait participer à ses délibérations, le curé insista ; on jugea prudent d'aller aux voix, et la majorité décida qu'elle entendrait M. le curé. Alors, si on ajoute foi à ce qui se dit, celui-ci commença la lecture d'un manuscrit assez volumineux, et dès la première page se répandit en invectives contre la maître d'école au bénéfice duquel on voulait, disait-il, déposséder la religieuse ; puis attaquant l'ordre de choses actuel : la révolution de juillet, ajouta-t-il, n'a servi qu'à mettre aux emplois un tas de va-nu-pieds à la place des honnêtes gens… M. le curé en était là de sa philippique, lorsqu'un de MM. les conseillers le pria très résolument de prendre la porte s'il n'aimait mieux passer par la fenêtre. Le prédicateur ne se fit pas dire deux fois et s'esquiva prudemment. (CdMo)
Mardi 29 novembre 1831
Au rédacteur du
Courrier de la Moselle.
« Woippy, le 25 novembre 1831.
Monsieur, vous avez inséré dans votre journal du 17 de ce mois, un article sur mon compte, qui a donné lieu aux informations de l'autorité, et qu'il m'importe de démentir avec la même publicité.
A vous entendre, j'aurais excité une scène scandaleuse au sein du conseil municipal de la commune de Woippy. Il s'agissait d'y discuter, le 11 du présent , non pas comme vous le dite, sur l'inutilité de conserver le logement à la sœur, mais bien sur la question de savoir si elle rentrerait en possession de l'école des filles qu'elle avait tenue depuis vingt ans, mais qu'on lui avait retirée il y a environ quatorze mois, par l'instigation du maître d'école.
Premièrement, je ferai remarquer que je n'éprouvai aucun refus d'être admis au sein du conseil municipal, selon votre dire, mais que M. le maire et MM ; les membres du conseil m'envoyèrent eux-mêmes chercher par l'agent de police, pour entendre les observations que j'avais désiré faire.
Je ne commençai point non plus, comme vous l'exprimez, par me répandre en invectives contre le maître d'école, dont le mode d'enseignement fut, il est vrai, l'objet de quelques critiques ; néanmoins je ne m'opposais nullement à ce qu'il conservât l'emploi d'instituteur des garçons. Continuant sur le même ton, et me prêtant des expressions qui ont trait à la politique, vous me faites dire : La révolution de juillet n'a servi qu'à mettre aux emplois un tas de va-nu-pieds à la place des honnêtes gens ! Je désavoue hautement ces paroles, je ne les ai point prononcées ; et MM. les conseillers, indignés d'une semblable inculpation, en ont fait justice dans leur procès-verbal.
Ces expressions n'ont pu être inventées que dans le dessein de me nuire.
En défendant les droits de la sœur près du conseil municipal, j'avais pour but d'obtenir dans l'école la séparation des sexes, et certes, ce n'était point sortir des bornes de mon ministère, que de solliciter une mesure reconnue nécessaire dans l'intérêt des bonnes mœurs.
Le procès-verbal dressé par MM. les membres du conseil municipal de Woippy, m'a suffisamment justifié près de l'autorité judiciaire ; mais en vous priant d'insérer cette lettre dans votre journal, j'ai voulu prouver aussi avec publicité la fausseté des inculpations dont j'ai été l'objet dans l'article dont il est question.
J'ai l'honneur, etc… Déchez, curé de Woippy. » (CdMo)
Mardi 10 janvier 1832
M. Lapointe, adjoint au maire de Woippy, depuis la révolution de juillet, n'a point été appelé à continuer ses honorables fonctions. M. Lapointe est le plus riche propriétaire de Saint-Remy (annexe de Woippy) ; il est, de plus, un des conseillers municipaux de cette commune qui aient réunit le plus de voix aux dernières élections. Mais il a eu le malheur de fermer la bouche, au sein du conseil municipal, à M. le curé de Woippy qui attaquait les hommes et la révolution de juillet ; il l'a même menacé de le mettre à la porte, et pas plus que sous la restauration pareilles choses ne sont oubliées par les hommes de la quasi-restauration. Aussi, M. Lapointe n'est-il plus adjoint de sa commune. (CdMo)
Samedi 11 février 1832
Bière, Ale, Porter. Les propriétaires de la brasserie anglaise, à la Maison-Neuve, route de Thionville, se sont mis en mesure cette année de ne brasser le Porter et l'Ale que dans les mois propres à la fabrication de ces sortes de bière ; il sont l'honneur d'en donner avis aux consommateurs, et de les prévenir qu'il sera répondu de suite aux demandes adressées à leur dépôt, chez M. Perpignan, place d'Arme, qui les transmettra à la brasserie, et chez lequel on trouvera la Porter et de l'Ale en bouteille, à 75 centimes, verre compris. Les prix de leurs différentes espèces de bières, droits acquittés, rendues en ville, sont de 25 f. pour l'hectolitre de bonne bière ordinaire de table ; de 45 fr. pour l'hectolitre de Porter ou Ale. A la campagne il sera fait déduction de l'octroi, qui est de 6 fr. par hectolitre. On ne trouvera pas de différence entre la qualité de leur Porter et celui d'Angleterre, quoique le prix en soit de moitié moins élevé. On expédie par barils de 30 à 100 litres et au-dessus. (JdMo)
Jeudi 8 mars, jeudi 22 mars 1832
A la
Brasserie anglaise, sur la route de Thionville, on trouve de la bonne bière de table, sans amertume, en barils de 40 à 100 litres. Le dépôt du
Porter et de l'
Ale, en bouteilles, est chez M. Perpignan, place d'Armes, à Metz, où l'on reçoit les demandes qui sont de suite transmises à la brasserie. (JdMo)
Samedi 17 mars 1832
A louer pour entrer de suite en jouissance, une
maison située à Woippy, composée de quatre chambres, un cabinet, une cuisine et un grenier ; un beau jardin tenant à la maison. S'adresser à Me Roget, notaire à Metz. (CdMo)
A la
Brasserie anglaise, sur la route de Thionville, on trouve de la bonne bière de table, sans amertume, en barils de 40 à 100 litres. Le dépôt du
Porter et de l'
Ale , en bouteilles, est chez M. Perpignan, place d'Armes, à Metz, où l'on reçoit les demandes qui sont de suite transmises à la brasserie. (CdMo)
Jeudi 3 mai 1832
A louer à Woippy, dans une maison agréablement située et entourée de jardins, un appartement garni et fraîchement décoré. La maison porte de n° 28. (GdMe)
Vendredi 22 juin 1832
Le choléra à Metz. Quelques personnes en sont mortes à Woippy, près Metz. (GdMe)
Jeudi 26 juillet 1832
Le choléra a entièrement cessé à Woippy, où l'invasion datait du 14 juin ; depuis le 15 du présent, aucun cas nouveau n'a paru. Là, comme dans plusieurs autres localités, l'épidémie a plutôt été remarquable par le choix des victimes que par leur nombre : on y compte 13 décès sur 80 personnes, plus ou moins gravement atteintes. M. l'abbé Deschez, curé à Woippy, mérite les plus grands éloges, pour la conduite courageuse qu'il a tenue dans cette malheureuse circonstance ; il n'a cessé de secourir les malades jour et nuit, avec un zèle éclairé et vraiment heureux en résultats. La crainte de blesser sa modestie nous empêche de signaler d'autres actes de sa charité. La sœur de la maternité, établie depuis douze années à Woippy, a aussi donné des preuves d'une activité et d'un zèle remarquables, soit en exécutant avec une rare intelligence les avis des médecins, soit en administrant elle-même les premiers secours, dont l'opportunité est si importante. Espérons que les habitants apprécieront son dévouement et que l'autorité reconnaîtra son extrême utilité dans cette commune. (GdMe)
Samedi 11 août 1832
A louer à Woippy, dans une maison agréablement située et entourée de jardins, un appartement garni et fraîchement décoré, au premier étage. La maison porte le n° 28. (GdMe)
Mercredi 26 septembre 1832
Etude de Me Lapointe, notaire à Metz, rue du Commerce.
Le lundi 1er octobre 1832, au village de Plappeville, à midi, il sera procédé, par Me Lapointe, notaire à Metz, à la vente aux enchères et en détail d'une grande et belle maison de maître avec remise, écuries, pressoir et grand jardin entouré de murs, et une métairie composée de 47 mouées de vignes, des croues et des prés, le tout situé à Plappeville et au ban Saint-Martin. (GdMe)
Mardi 19 février 1833
Le 4 mars 1833, dix heures du matin, en l'étude de Me Roget, il sera, par son ministère, procédé à l'adjudication préparatoire de
deux maisons situées à Woippy,
trois jardins et
une pièce de terre, situés sur les bans de Woippy et Saulny, dépendant des successions de Louis Lemoine et de Barbe Mangenot. (CdMo)
Vendredi 26 avril 1833
Belle propriété dite Saint-Eloy, dépendant de la succession de M. Sauvage, ancien administrateur de la loterie, à vendre par adjudication, et un seul lot, en l'étude et par le ministère de Me Richard Nicolas, notaire à Metz, rue des Clercs, n° 1, le lundi 20 mai 1833, une heure de relevée.
La propriété de Saint-Eloy, annexe de Woippy, 1er canton de Metz, est située près de la route, en face de la brasserie Anderson, à un quart d'heure de la porte dite de Thionville. Elle se compose d'une belle maison précédée d'une avenue, cours, bâtiments d'exploitation, jardins, vergers, chènevières, terres labourables et prés, le tout peu divisé et à proximité de la maison. Des canaux, alimentés par les eaux du ruisseau de Woippy, traversent le jardin, enceignent les vergers et une partie des terres, et sont bordés d'un grand nombre de peupliers. Cette propriété est affermée moyennant 3 000 fr., outre les contributions, par bail authentique, dont il reste encore plusieurs années à courir. Entrée en jouissance de suite.
S'adresser, pour les renseignements : 1° à Mme veuve Sauvage, à Metz, rue Belle-Isle, n° 16 ; 2° à MM. de Brye, rue de la Crête ; 3° à Me Richard Nicolas, notaire, dépositaire des titres, et pour la propriété, au fermier. (CdMo)
Mercredi 15 janvier 1834
Etude de Me Richard Nicolas, notaire à Metz, rue des Clercs, n° 1.
Adjudication en détail d'une maison, de vignes et croues sur le ban de Lorry, et d'une pièce de 9 mouées sur le ban de Woippy, le dimanche 19 janvier 1834, après vêpres au village de Lorry-lès-Vigneulles. (GdMe)
Vendredi 14 février 1834
Lundi 17 février courant, à 11 heures du matin, par le ministère du sieur Maline, commissaire-priseur, il sera procédé sur place, près de la maison ci-devant appartenant à M. Sauvage, maintenant à M. Munier, lieu-dit St-Eloy, commune de Woippy, près Metz, à la vente de 95
peupliers d'Italie par lots de 8 chacun, ou en gros, au choix des amateurs. A crédit jusqu'au 2 octobre prochain, en payant comptant 5 centimes par franc et donnant caution si on l'exige. On pourra s'adresser pour voir lesdits arbres, au sieur Simon, fermier à St-Eloy. (CdMo)
Mercredi 15 janvier 1834
Etude de Me Richard Nicolas, notaire à Metz, rue des Clercs, n° 1.
Adjudication en détail d'une maison, de vignes et croues sur le ban de Lorry, et d'une pièce de 9 mouées sur le ban de Woippy, le dimanche 19 janvier 1834, après vêpres au village de Lorry-lès-Vigneulles. (GdMe)
Lundi 14 avril 1834
A vendre de la main à la main, avec grandes facilités pour le paiement, 1° une pièce de terre, située à la Fausse-Corvée, ban de Woippy, contenant 9 jours et demi ; 2° un terrain, situé aux Trente-Fauchées, même ban, comprenant 28 jours et demi de terre et treize fauchées de prés. Ce terrain aboutit à la route de Metz à Thionville. S'adresser à Me Lapointe, notaire à Metz, rue du Commerce. (CdMo)
9 mai 1834, 27 juin 1834
A vendre, à Woippy, 1° Un corps de biens patrimonial, consistant en une très jolie maison de maître, située au milieu d'un beau et grand jardin dans lequel passe un ruisseau ; pressoir, caves, remise, écurie, etc ; le tout entouré de murs. Du devant une vaste cour plantée de tilleuls. La dite maison portant le n° 28 ; 2° deux métairies de vignes, situées sur les meilleurs coteaux ; bois, croues. S'adresser, dans la maison désignée ci-dessus. (CdMo)
11 juin 1834
Bière. M. Hachet, sellier, rue des Clercs, reçoit toutes les demandes de bière pour la brasserie anglaise, près de Metz, où elles seront envoyées chaque jour. (CdMo)
Mercredi 9 juillet 1834
M. Legros, place d'Austerlitz, (Saint-Jacques), n° 1, a l'honneur de prévenir le public, que n'ayant pas été satisfait des manières de la personne à laquelle il avait remis son magasin, il se trouve obligé de le reprendre. En conséquence, il continuera à tenir le dépôt de la bonne bière de M. Anderson, de la brasserie anglaise. Elle sera très bien soignée. Ledit sieur Legros se chargera des commissions et demandes pour ladite brasserie. Il continuera également de dépôt du spécifique infaillible pour la destruction des punaises. (CdMo)
21 juillet 1834
Dépôt de la bonne bière de la Brasserie anglaise de M. Anderson, chez le sieur Legros, place Saint-Jacques, n° 10, où l'on trouve le spécifique infaillible pour la destruction des punaises. (CdMo)
28 avril 1835
Etude de Me Simon, notaire à Metz, rue du Porte-Enseigne, n° 17.
Un très beau
corps de biens , situé au village et sur le territoire de la commune de Woippy, près Metz, consistant en une vaste maison de maître, deux autres maisons avec pressoirs et cuveries, une maison de vigneron, différentes pièces de vignes et autres héritages, à vendre par adjudication par lots ou en détail avec facilités pour le paiement, le mardi 12 mai 1835, à deux heures de relevée, en l'étude et par le ministère de Me Simon, notaire à la résidence de Metz. Tous ces objets pourront être vendus séparément ou être réunis par lots, suivant la convenance des amateurs. L'on pourra traiter de gré à gré avant l'adjudication. S'adresser au sieur François, jardinier à Woippy, pour voir les biens, et audit Me Simon, pour connaître les conditions. (IdMo)
29 mai 1835
A vendre de gré à gré, un
corps de biens, situé à Woippy, consistant en une maison de maître, entre une cour avec porte en fer, composée d'une cuisine, un cabinet, quatre chambres avec cheminée, une grande cave, une grange servant de cuverie avec trois cuves, une cour, un jardin potager avec charmille, un verger à la suite, dans lequel une pièce d'eau ; une maison de vigneron y attenant et des écuries, 60 mouées de vignes et 2 jours de bois. Les jardins contiennent ensemble plus d'un jour. S'adresser, pour voir la propriété, à M. Fauconnier, rentier à Metz, rue Sous-Saint-Arnould, n° 1 ; et pour connaître les conditions de la vente, à M. Lapointe, notaire à Metz, rue du Commerce. (IdMo)
18 mai 1836
Le lundi 23 du présent mois à onze heures du matin, par le ministère du sieur Maline, commissaire-priseur, il sera procédé au village de Woippy, dans la maison dépendant de la succession de feu M. Kremer, à la vente de meubles et effets, vins et autres objets mobiliers par lui délaissés, consistant en ustensiles de cuisine, faïence et verrerie, couches, armoires, futailles, échelles doubles et simples, tables et autres meubles, deux cuves dont une de 70 hottes et l'autre de 80, quatre hottes à sapin, entonnoirs et ustensiles de caves, quatre pièces de vin de la récolte 1834, trois de la récolte de 1835, avec fûts. Un rucher garni de huit ruches peuplées de leurs abeilles, pots à fleurs et arbustes, etc. (IdMo)
Vendredi 5 août 1836
Un jeune cultivateur, nommé Turlet, de la commune de Woippy, s'étant trop approché des mines pratiquées par le génie militaire, sous des redoutes destinées à sauter, a été atteint par une pierre et a succombé peu de temps après à l'hôpital, où on l'avait transporté. S. M. le Roi des Deux-Siciles, informé par le curé de ce triste événement, a fait remettre à M. le Préfet une somme de mille francs, destinée à la famille de cet infortuné jeune homme. Turlet avait été invité, à plusieurs reprises, à se retirer du lieu où il se trouvait ; il n'a jamais voulu tenir compte de ces invitations. Cinq militaires ont été blessés par suite des mêmes explosions, mais leurs blessures ne présentent aucune gravité. (CdMo)
Jeudi 14 décembre 1836
Sur la demande du citoyen Dufour, rapporteur de la 3ème commission, le Conseil renouvelle avec les plus vives instances, le vœu qu'il a déjà émis à diverses reprises, pour la séparation de la section de La Maxe et Thury de la commune de Woippy, et l'érection de ces sections en municipalités distinctes, mais sous la réserve que les fermes de Grandes et Petites-Tappes resteront réunies à Woippy. (CdMo)
Samedi 15 avril 1837, Mardi 2 mai 1837
A vendre de gré à gré, avec facilités pour les paiements, vingt-huit jours et demi de terre et treize fauchées de pré, en une seule pièce, située ban de Woippy, lieudit aux Trente-Fauchées, aboutissant à la route de Metz à Thionville, et neuf jours et demi de terre, aussi en une pièce, située sur le même ban, lieudit à la Fausse-Corvée. S'adresser à Me Lapointe, notaire à Metz, rue du Commerce. (CdMo)
Jeudi 14 janvier 1838
A louer présentement la Maison-Neuve, sur la route de Thionville, commune de Woippy. Consistant en un bel appartement de maître, cuisine, grenier, chambre à four, écurie et remise, cave, une cour, un grand jardin et plein rapport, et en un grand local propre à un entrepôt de vins ou commerce de planches.
S'adresser à M. Goussin, rue du Four-du-Cloître, n° 2, à Metz. (CdMo)
Jeudi 25 janvier 1838
Le 28 janvier 1838, à une heure après midi, au village de Woippy, il sera procédé par Me Roget, notaire à Metz, à l'adjudication, en détail, d'une
ferme située sur le territoire de la commune de Woippy, consistant en terres, prés, chènevières et bois. Et le 31 du même mois, à deux heures de relevée, au village de Bellevue, commune de Norroy-le-veneur, à la vente d'une belle
maison avec jardin attenant, et pièce de terre en face. (CdMo)
Mardi 6 mars 1838
Metz. Il y aurait une tâche importante à remplir à Metz, c'est celle d'inspecteur des monuments publics, lesquels sont un peu abandonnés à eux-mêmes, quels que soient d'ailleurs à cet égard le zèle et la sollicitude de l'architecte de la ville.
Cette réflexion, qui peut fournir matière à un long développement, nous a été inspirée ces jours derniers par l'état de quelques-unes de nos fontaines publiques. On conçoit difficilement à l'aspect de ces cloaques, pour la plupart avoisinés d'ordures, d'égouts ou d'immondices, qu'une eau salutaire puisse jaillir de leur robinet. Mais cela étant, ne faut-il pas encore donner à nos fontaines l'apparence de la propreté et maintenir ces petits monuments en très bon état de conservation ? La fontaine Saint-Nicolas qui a, comme sculpture, de jolies parties, se dégrade tous les jours : on a même eu l'idée de sceller un crampon de réverbère dans la cuisse de l'une des figures qui la couronnent. Les mousses et les giroflées rongent et déjointent les assises de la fontaine Ste-Croix. La fontaine d'Austerlitz qui, si elle était seulement badigeonnée ne ferait plus tant honte au quartier qu'elle arrose, a ses corniches brisées ; sa niche déserte est encore fermée par la planche, aujourd'hui pourrie, qu'y clouèrent, en 93, les autorités iconoclastes de l'époque. Et ainsi des autres.
La plupart de villages qui avoisinent Metz ont des fontaines publiques plus propres que les nôtres. Comme nous ne paraissons pas encore près de jouir de la distribution d'eaux qu'on nous promet et que nous attendons comme un bienfait, ne serait-il pas convenable que l'administration s'occupât de décrasser nos fontaines, et nous mettre sous ce rapport au niveau de Jouy, Châtel, Moulins,
Woippy, etc. (CdMo)
Samedi 10 mars 1838
A louer ensemble ou séparément, pour entrer en jouissance : 1° L'auberge de la Maison-Rouge, avec jardin, grenier, grandes écuries et remise. Cette maison est propre à tout genre de commerce. 2° Une belle brasserie avec un logement, de grandes et bonnes caves et greniers. 3° Une vinaigrerie. Le tout est situé sur la route de Metz à Thionville, à 5 kilomètres de Metz. S'adresser à M. Berveiler, pharmacien, rue Fournirue, 16, à Metz. (CdMo)
Mercredi 25 mai 1838
A vendre à Woippy, jolie petite
maison avec écurie pour quatre chevaux, jardin et verger en plein rapport. S'adresser au propriétaire, n° 64. (IdMo)
Samedi 26 mai 1838
Vente d'un beau mobilier, glaces, pendules, 24 couverts, 4 cuillers à potage, huilier, cafetière en argent, 12 cuillers en vermeil, gravures, tableaux, linge de lit et de table, couchages et bibliothèque, montre à cylindre, groupes, figurines, vases, flacons, vins en cercle, du cru de Woippy, des récoltes de 1834, 1835 et 1836, etc, dépendant de la succession de M. l'abbé Saincère, ancien proviseur du collège royal, chevalier de la Légion d‘Honneur.
Cette vente aura lieu, à Metz, rue St-Vincent, n° 3, lundi 28 mai 1838, à neuf heures du matin, une heure de relevée, et le lendemain. Et à Woippy, pour les vins, le 30, à dix heures du matin. Le commissaire-priseur, signé Seurette. (CdMo)
Samedi 23 juin 1838
Etude de Me Gougeon, notaire à Metz, rue de la Princerie, n° 1.
A vendre à l'amiable : Deux hectares 26 ares environ (51 mouées) de vignes en deux métairies, sur les bans de Woippy, Lorry et Devant-les-Ponts, sans plant de grosse race. Une belle maison de maître, en très bon état, avec une autre maison y attenant, contenant logements de vigneron et de jardinier, remise, écurie, cuverie et caves, avec cours, jardins derrière, dans le plus bel emplacement de Woippy. Plusieurs vergers et croues plantés d'arbres à fruits. Le tout à vendre ensemble ou séparément. Il y aura de très grandes facilités pour les paiements. S'adresser, pour les prix et conditions, à Me Gougeon, notaire à Metz, et pour voir les propriétés, à M. Thomen, propriétaire à Woippy. (CdMo)
Samedi 30 juin 1838
En l'étude de Me Gilbrin, notaire à Metz, place Saint-Louis, n° 48.
Il sera procédé à la vente, mardi 17 juillet 1838, deux heures après midi, d'une belle petite maison neuve avec jardin derrière, située à la Maxe, commune de Woippy, occupée par M. Guérin. (CdMo)
Jeudi 23 août 1838
Etude de Me Simon, notaire à Metz, rue du Porte-Enseigne, n° 17.
Une belle métairie de vignes située au village et sur la ban de Woippy, et sur celui de Devant-les-Ponts ; un bois situé sur le ban de Devant-les-Ponts, à vendre par adjudication, en deux lots, le jeudi 30 août 1838, à deux heures de relevée, en l'étude et par le ministère de Me Simon. On traitera de gré à gré avant l'adjudication. S'adresser, pour connaître les conditions, à Me Simon, notaire. (CdMo)
Jeudi 30 août 1838
Etude de Me Gilbrin, notaire à Metz, place Saint-Louis, n° 48. Me Gilbrin est aussi chargé de vendre une belle petite maison neuve avec jardin derrière, située à La Maxe, commune de Woippy, entre M. Charles Jacques et Auburtin. (CdMo)
Jeudi 1er novembre 1838
Une distribution de primes, accordées aux propriétaires des plus beaux chevaux de trait et des plus belles bêtes à cornes, a eu lieu lundi dernier 29 octobre, jour de foire aux bestiaux, dans la plaine du Ban-Saint-Martin. Les fonds étaient faits par l'académie royale de Metz et par le préfet, sur les sommes mises à leur disposition par le ministre pour encouragement à l'agriculture. Un jury composé du président de l'académie, de cultivateurs agrégés et d'un artiste vétérinaire, a décerné les primes dans l'ordre suivant :
(…) Taureaux : Une prime de 50 fr. et une médaille de bronze à M. Pelte, de Woippy. Vaches laitières : Une prime de 30 fr. à M. Pelte, de Woippy. Elèves : Une prime de 20 fr. à M. Pelte, de Woippy.
Il faut souhaiter, pour les progrès de cette branche importante de l'agriculture départementale, que de pareilles fêtes se répètent souvent, et surtout que les distinctions flatteuses qui les accompagnent, distribuées avec la plus scrupuleuse impartialité, soient estimées autant qu'elles méritent de l'être par nos propriétaires et éleveurs de bestiaux. (CdMo)
Mardi 23 octobre 1838
Etude de Me Gougeon, notaire à Metz, rue de la Princerie, n° 1.
Vente par licitation. On fait savoir à tous qu'il appartiendra, qu'en vertu d'un jugement rendu par le tribunal de 1 ère instance de Metz, le 31 juillet 1838, à la requête de 1° M. Jean-Jacques Heyd, confiseur, demeurant à Metz, et Catherine Daulnoy, son épouse, aux droits de celle-ci ; 2° M. Jean-Baptiste Daulnoy, prête curé desservant la commune de Pierre, honoraire, demeurant à Paris, et de Mme Madeleine Thérèse Pétry, veuve de M. Weis, rentière, demeurant à Vaucouleurs, aussi héritiers dudit sieur François-Paul Sainsère, tous défendeurs procédant par le ministère de Me Mangin, leur avoué ; d'autre part, il sera, par le ministère de Me Gougeon, notaire à Metz, procédé à la vente en détail et à l'extinction des feux, des immeubles ci-après désignés :
(Entre autres) Ban de Woippy : 1° Une pièce de terres labourables, située lieudit les Ouillons, contenant 2 hectares 38 ares 58 centiares, ou 11 jours 360 verges, formant pointe, M. Poulain d'une part, et le chemin des Romains d'autre, et le ruisseau de la Fontenotte à un bout, estimée à 3 360 fr. 2° Une autre pièce de terre, lieu dit en Ganeheray, contenant 1 hectare 83 ares 50 centiares, ou 5 jours 70 verges, entre Antoine Mangenot de part et d'autre, estimée 3 000 fr.
L'adjudication préparatoire a eu lieu le mercredi 17 octobre 1838, deux heures de relevée, en l'étude de Me Gougeon, notaire à Metz.
L'adjudication définitive aura lieu, pour les terres situées ban de Woippy, au village de Woippy, le dimanche 4 novembre 1838, trois heures de relevée, au domicile qui sera annoncé au son de caisse. Aux clauses et conditions du cahier des charges déposé en l'étude dudit Me Gougeon. (CdMo)
Samedi 8 décembre 1838
Vente pour cause de décès
d'un mobilier considérable .
On fait savoir que jeudi prochain, 13 décembre 1838, dix heures du matin, et jour suivant s'il échet, au village de Woippy, au domicile mortuaire, il sera procédé, par M. Sarazin, huissier à Metz, rue de la Haye, n° 12, successeur de M. Lalance, à la vente du mobilier dépendant tant de la succession de dame Marie-Madeleine Leblanc, décédée épouse de Dominique Vignon, propriétaire et charretier audit Woippy, que des deux communautés qui ont existé entre elle, ce dernier, et Jacques Reiter son premier mari, décédé ; et ce à la requête dudit Dominique Vignon, et des tuteurs, des mineurs des deux mariages ; en présence de leurs subrogés-tuteurs ; consistant en bois de lits, couchages, linge, garde-robe et chemises de femme, armoires, commodes, batterie de cuisine, objets en étain, cuivre, rosette et airain, faïence, attirails de feu et de four, vins et futailles, denrées, pommes de terre, fourrages, cheval, vaches, génisses, porcs gras, brebis, charrettes, charrues, harnais et autres objets. A crédit et aux conditions du procès-verbal. (CdM)
Mardi 30 avril 1839
Belle et grande vinaigrerie, avec ses foudres et tous les accessoires pour fabriquer le vinaigre, à louer de suite. Elle est située à la Maison-Rouge, route de Thionville, près Metz. S'adresser à M. Reinert, brasseur à la Maison-Rouge, ou à Metz, rue Fleurette, n° 77 et 79. (CdMo)
Mardi 4 juin 1839
Etude de Me Simon, notaire à Metz.
Le mardi 18 juin 1839, à deux heures de relevée, en l'étude et par le ministère dudit Me Simon, il se procédé à l'adjudication d'une maison de maître située à Woippy, composée de douze pièces, logement de jardinier, cour, remise, écurie, à la suite jardin potager, verger, bois d'agrément, pièce d'eau, terrasses, une serre et une bâche. On jouit d'une très belle vue de la maison, des terrasses et du jardin. On vendra en outre deux autres maisons, un pressoir et neuf pièces de vignes de diverses contenances, le tout en un ou plusieurs lots.
S'adresser, pour voir les lieux, à M. Pittat, demeurant à Woippy, et à Me Simon, notaire, pour connaître les conditions. (CdMo)
14 juin 1839
On fait savoir qu'en vertu d'un jugement rendu par le tribunal de première instance, séant à Metz, en date du 9 avril 1839, entre 1° le sieur Jean Reiter, majeur, sans profession, demeurant à Woippy, demandeur ; à lui joints, 1° Pierre Reiter, propriétaire, demeurant à Uckange, en qualité de subrogé-tuteur à Marie, Pierre et Jean les Reiter, tous trois enfants mineurs issus du mariage de feue Marie-Madeleine Leblanc avec Jacques Reiter, son premier mari ; 2° Joseph Leblanc, meunier et propriétaire, demeurant à Woippy, tant en son nom personnel comme héritier de Louis Badé son oncle et de ses père et mère, et encore comme légataire de cette dernière, qu'en qualité de subrogé-tuteur à Etienne, Marie-Rose et François Les Vignon, tous trois enfants mineurs issus du mariage du sieur Vignon avec Marie-Madeleine Leblanc, son épouse, décédée ; 3° Pierre Mathieu fils, sans profession, demeurant Devant-le-Pont ; 4° François Mathieu père, propriétaire, demeurant au même lieu, en qualité de tuteur à Louis Mathieu, son fils, mineur, né du mariage avec défunte Madeleine Leblanc, son épouse ; 5° Jean Woigard, meunier, demeurant à Metz, et dame Madeleine Mathieu, son épouse, aux droits de celle-ci ; 6° Liégey, charpentier, demeurant à Pont-à-Mouson, et dame Madeleine Mathieu, son épouse, aux droits de celle-ci ; 7° et enfin Jean-Baptiste Bachelier, meunier, demeurant à Labry, et dame Marie Mathieu, son épouse, aux droits de celle-ci, défendeurs, tous procédant par Me Jacquemaire, leur avoué, d'une part ; 2° et le sieur Dominique Vignon, propriétaire, demeurant à Woippy, comme ayant été commun de biens avec feue Marie-Madeleine Leblanc, son épouse, et François Leblanc, meunier et propriétaire, demeurant à Woippy, défendeurs, procédant par Me Germain, leur avoué, d'autre part, il sera par le ministère de Me Roget, notaire à Metz, commis par le jugement sus relaté, procédé à l'adjudication par voie de licitation, à l'extinction des feux, au profit des plus offrants et derniers enchérisseurs, des immeubles ci-après désignés :
Savoir : Une
maison , située à Woippy, en entrant au village du côté de Metz ; un jardin, vis à vis cette maison de l'autre côté du chemin ; quatre pièces de terre, contenant ensemble un hectare 56 ares 76 centiares ; le tout situé sur le ban dudit Woippy. Une autre
maison , sise au village de Lorry-Devant-le-Pont, à côté de M. Delmud et les héritiers Guerquin ; 81 ares 85 centiares de prés contenus en 7 pièces, et trois terriers contenant 18 ares 10 centiares, situés sur le territoire de la commune de Lorry-Devant-le-Pont.
L'adjudication préparatoire aura lieu en l'étude dudit Me Roget, la samedi 29 juin 1839, dix heures du matin ; et l'adjudication définitive se fera par le ministère du même notaire, pour les biens, situé à Lorry-Devant-le-Pont, audit village, le lundi 15 juillet 1839, une heure de relevée ; et pour ceux situés à Woippy, en ce dernier village, le lendemain, deux heures après-midi. ((IdMo)
Jeudi 5 septembre 1839
Mercredi 11 septembre courant, à dix heures du matin, par le ministère du sieur Maline, commissaire-priseur, il sera procédé, au village de Woippy, près Metz, à la vente, pour cause de départ, d'un mobilier consistant en batterie de cuisine, faïence, porcelaine, verrerie et cristaux ; linge, couchages, rideaux, lits garnis, glaces, trumeaux, pendules, meubles de salon en bois d'acajou couverts en velours et en drap de différentes couleurs, commodes, secrétaires, consoles, chiffonniers, tables à thé avec marbre, table de nuit, tables à jouer et à manger à coulisse pour 24 couverts et autres formes à l'anglaise, un beau tric-trac avec dames en ivoire, armoire à linge et à bibliothèque, tables à dessiner avec coulisse, bureau ordinaire et à la Tronchin avec crémaillère, tables à ouvrage, toilette, etc ; trois beaux poêles en faïence, une fontaine à filtrer l'eau avec robinet, deux lampes-Carcel, flambeaux, garniture de cheminée, un beau piano de Vincent, triquet, à trois cordes, six octaves et cinq pédales ; buffet, armoires et bloc de cuisine, échelles doubles et simples, ustensiles de jardinages, vitraux, cloches, bois de chauffage, vin en bouteilles de 1834, bouteilles et cruchons vides, etc.
Au comptant, et cinq centimes pour franc. La maison où se fera la vente est à louer, pour fin de bail, à compter du 1er octobre prochain, jusqu'au 1er juillet 1840. S'adresser, pour ce, à M. Bardin. (CdMo)