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Dernière mise à jour : 9 mars 2017
La gare de Metz (Le parking aérien - 1974-1975) |
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En gare de Metz, le futur a déjà commencé. On y vit à l'heure de l'avenir et des réalisations qu'il impose. Un schéma directeur d'aménagement de l'ensemble du quartier est notamment à l'étude. Il doit faire de lui, dans un délai d'une décennie environ, un centre directionnel de « commandement » des affaires régionales et urbaines, tant industrielles que d'échanges. C'est une option futuriste. Plus rapprochée dans le temps puisqu'elle doit connaître un début de concrétisation avant la fin de cette année, une initiative de la direction régionale de la S.N.C.F., que dirige à Metz M. Roger Forray, marquera très prochainement le démarrage de l'aménagement d'ensemble prévu pour tout ce secteur. |
Une première opération qui ne manquera d'ailleurs pas de surprendre tous les Messins et leurs nombreux visiteurs puisqu'il ne s'agit rien moins que d'abattre les deux immenses halles qui abritent les quais et voies de la gare de Metz et de les remplacer par une couverture portante en béton sur laquelle sera aménagé un parking en plein air de près de 650 places !... Et ce n'est pas qu'une idée puisque le projet est si avancé que les travaux débuteront avant la fin de cette année. Ils dureront un an. Ainsi le voyageur qui, après quelques années d'absence, retrouvera Metz en 1976 ne reconnaîtra-t-il plus tout à fait la gare. Elle aura perdu ses halles monumentales et sera utilisée comme parking ! Ce sera la première opération de ce genre réalisée en France. |
PLUS DE 20 000 m2 DE BÉTON AU-DESSUS DE LA GARE !
Lancée il y a une année environ, l'idée a pris rapidement corps. Des négociations furent entreprises avec la municipalité. « Elles se sont déroulées, assure M. Forray, dans un climat d'excellente compréhension ».En prévision de la réalisation d'une double rampe entre la gare et le centre de tri postal, l'organisation de la circulation dans la cour d'arrivée de la gare sera revue au mois de septembre prochain. On se penchera sans doute de nouveau à cette occasion sur le schéma de circulation concernant l'ensemble de ce secteur de la gare. |
LA GARE DE METZ EST CLASSÉE
On ne célébrera jamais leur soixante-dixième anniversaire. Construites avec la gare, témoin du développement ferroviaire de Metz, les deux halles qui recouvraient les quais disparaîtront bientôt de l'horizon messin. La première, déjà, n'existe plus qu'à l'état de squelette... C'est par cette rampe hélicoïdale, située entre la gare et le tri postal, que l'on accédera au parking aérien. Elle devrait accueillir les premiers automobilistes à la fin de cette année. |
• VOYAGEURS La journée de 24 heures est divisée en 16 périodes d'importance inégale. On décompte une période entre chaque tiret : 6 h - 7 h- 8 h - 9 h - 10 h - 11 h - 12 h 14 h - 15 h - 16 h - 1 7h - 18 h - 19 h - 20 h - 22 h - 24 h - 6 h. Le tarif de base est dégressif en fonction du nombre de périodes de stationnementt, de 0,75 F pour la première période jusqu'à un maximum de 6,00 F par 24 heures. • USAGERS NON-VOYAGEURS Cette catégorie de clientèle sera admise moyennant le paiement d'une surtaxe qui doublera le prix « voyageurs ». • QUELQUES EXEMPLES DE PRIX a) TARIF VOYAGEURS - 1/2 journée (voyage à Nancy) de 7 h à 12 h ... 3,50 F - 1 journée (voyage à Paris) de 6 h à 20 h ... 5,50 F b ) TARIF NON-VOYAGEURS - 1 heure (de 9 h à 10 h) : 1,50 F. • ABONNÉS - abonnements mensuels : 75,00 F. - abonnements annuels : paiement en une fois : 825,00 F(soit 11 x 75,00 F) paiement trimestriel : 500,00 F (soit 12 x 75,00 F) Chaque abonné recevra une carte magnétique donnant libre accès au parking. |
N° 1548 - 20 juin 1976 |
LA GARE DE METZ : |
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« VOTRE VOITURE SUR LE TOIT », quand on connaît les problèmes de stationnement, cela ressemble à une boutade. Et pourtant c'est là un slogan que l'on peut lancer déjà à Metz depuis que la gare s'est dotée d'un vaste parking installé au-dessus des voies. En effet, depuis le 1er décembre 1975, les voyageurs peuvent se rendre en voiture à la gare de Metz, sans devoir affronter l'épineux problème du stationnement. C'est là une étape dans le vaste plan de modernisation que va connaître cette gare imposante de la Lorraine, imposante tant par son architecture que par son trafic, sans oublier sa situation privilégiée au carrefour de lignes internationales telles que Sarrebruck-Paris, Luxembourg-Nancy-Dijon, Bruxelles-Zurich et Milan. BREF RAPPEL HISTORIQUE Cette situation privilégiée de carrefour ferroviaire international ne fut acquise que progressivement. Les études préliminaires pour le tracé de la ligne ferroviaire de Paris à la frontière allemande conclurent tout d'abord, pour des considérations de profil de ligne, à un. tracé via Nancy, Metz n'étant reliée que par un embranchement greffé sur cet axe à Frouard. La loi du 15 juillet 1845 autorisait cependant la concession d'une ligne de Metz à Sarrebruck. C'est en 1850 que fut achevée la construction de la ligne de Metz à Frouard, y compris l'installation des stations... sauf celle de Metz où fut créé un embarcadère provisoire. La première station de voyageurs fut installée en 1852 à l'extérieur des remparts de la ville, entre Metz et Montigny et, pour des raisons militaires, les premiers bâtiments furent réalisés en bois... afin de pouvoir être abattus très rapidement ! C'est le 20 juin 1850 que fut ouverte à l'exploitation la ligne de Nancy à Metz et c'est le 25 du même mois que débutait le premier service voyageurs : les 57 km étaient couverts en 1 h 45 par trois trains dans chaque sens et par jour. A titre indicatif, il en coûtait 4,50 F en première classe, 4,00 F en deuxième classe et 3,00 F en troisième classe pour effectuer le trajet. La vocation internationale de la gare de Metz se concrétisait le 15 novembre 1852 par la prolongation de la ligne vers Sarrebruck, ouvrant ainsi la voie vers Mannheim et Berlin, une des premières liaisons directes entre capitales européennes. C'est ensuite vers Luxembourg que se tourna Metz, le 11 août 1859, avec l'ouverture de la ligne de Metz à Thionville (1854) et Thionville à Luxembourg (1859). Durant la guerre de 1870, les installations ferroviaires de Metz furent préservées et même un faisceau de voies à l'Esplanade accueillit des wagons transformés en hôpital militaire où étaient soignés les blessés recueillis sur les champs de bataille de Gravelotte, Mars-la-Tour, et Saint-Privat. Mais le traité de Francfort enlevait à la France une partie du département de la Moselle ainsi que ceux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin et ce sont 740 kilomètres de lignes qui passèrent sous la tutelle de la « Kaiserlische Generaldirektion der Eisenbahnen in ElsassLothringen ». Mais qu'advint-il de la gare de Metz ? Les bâtiments de 1852 furent détruits par un incendie en 1872 et remplacés en 1874 par un bâtiment en pierre, bien connu des Messins comme « l'ancienne gare » située placedu Roi Georges. La carrière de cette gare fut brève puisqu'elle fut désaffectée en 1908 et remplacée par un nouveau bâtiment à passage direct, l'actuelle gare inaugurée le 17 août 1908. LA GARE AVANT SA RÉNOVATION La gare de Metz constitue un édifice monumental, exemple de style rhéno-roman, dont les lignes extérieures sont très lourdes. Mais cette gare, avec la poste centrale bâtie dans le même style, a marqué de son empreinte tout un quartier de la ville nouvelle édifiée à l'époque. Elle faisait partie d'un vaste ensemble ferroviaire compris entre le pont Amos et la Porte des Allemands et sa conception est le témoignage d'une rare largeur de vue : dix voies desservies par des quais hauts à voyageurs et des quais bas distincts pour les bagages, des voies de garage convenables tant au nord qu'au sud. L'ensemble de l'édifice a une longueur de 290 mètres et une largeur de 45 mètres. Le corps du bâtiment voyageurs offre une façade de 155 mètres flanquée, côté Thionville, d'une aile de 55 mètres et, côté Nancy, d'une aile de 75 mètres. Ces deux ailes, légèrement en retrait, offrent deux cours de gare distinctes départ et arrivée. La couverture des quais était assurée par trois halles dont les caractéristiques étaient les suivantes :
La couverture proprement dite était constituée par un voile mince de béton ponce, armé par un entrelacs de fers plats, encastrant les membrures supérieures des pannes métalliques assemblées aux fermes parallèlement aux voies. Malheureusement, la structure de ces halles a beaucoup souffert durant les années 1939 à 1950, en raison d'un entretien difficile ; les infiltrations d'eau et les acides sulfuriques des fumées de locomotives à vapeur ont entraîné une corrosion profonde des pannes e des armatures de fer plat provoquant le décollement de la maçonnerie de l'intrados. L'IDÉE D'UNE DALLE... Devant une telle situation, il devenait urgent d'entreprendre une révision profonde de la structure, comportant, au minimum, la démolition du voile mince de béton, la dépose des pannes et la reprise des sections en mauvais état des fermes. |
Le bâtiment de l'ancienne gare, place du Roi Georges, en 1900. Au premier plan, les anciens fossés des remparts. (Photos Schontz) La gare, inaugurée le 17 août 1908, avec les trois halles d'origine. La gare de Metz telle qu'elle se présentait jusqu'en novembre 1974. Vue côté Thionville. La dalle-parking en cours d'achèvement avec le démontage du deuxième hall. On remarque les quatre passerelles au-dessus des voies 4 et 5. L'installation de la dalle et le démontage de la première halle en mai 1975. Au premier plan on remarque les locaux de service provisoires. Coffrage des poutres longitudinales. On aperçoit un support caténaire provisoire. |
Cette opération, d'une importance indéniable, nécessitait la mise hors service successive de chacun des deux faisceaux de la gare pendant plusieurs mois. Afin de causer la moindre gêne à la poursuite de l'exploitation de la gare, il paraissait nécessaire de réaliser soit des quais provisoires à l'extérieur, soit un plancher de protection provisoire isolant le chantier au-dessus des voyageurs. Ensuite il faudrait installer des abris-parapluies de grande largeur sur les vastes quais à voyageurs. D'un plancher provisoire aux vastes abris-parapluies, l'idée chemina jusqu'à la réalisation d'un plancher à demeure, et, après tout, pourquoi ne pas utiliser ce plancher pour y garer des véhicules ? C'est, en définitive, la solution qui a été adoptée. Ainsi, fut-il décidé de construire une dalle légère en béton armé à 5,80 m au-dessus du rail, qui reposerait sur des poutres longitudinales, elles-mêmes supportées par des piliers sur semelles (153 au total), espacés de 18 m, à raison de deux files sur les larges quais à voyageurs, et d'une seule sur les quais à bagages, disposition conduisant à la neutralisation simultanée de deux voies seulement pendant l'avancement du chantier. Dans le courant de l'année 1974 commencèrent les travaux de préparation dont les plus visibles furent le déplacement des locaux de service et salles d'attente situés sur les quais ainsi que l'implantation de supports caténaires provisoires sur les quais mêmes. En fait, il convient de préciser que ce parking est réalisé en deux dalles reliées par quatre passerelles au-dessus des voies 4 et 5, voies de circulation sans arrêt qui ne reçoivent pas de trains de voyageurs. |
Vue actuelle de la gare. (Photos Schontz) La première partie du parking est exploitée depuis le 1er décembre 1975 avec un succès certain. |
La surface totale couvre 20 900 m2 en deux rectangles de 218 m de long sur 36,6 m de large pour le premier, et 48,5 m pour le second, séparés donc par un espace de 11 m environ. Des hauts jours (espaces transversaux) ont été laissés dans chacune des dalles et, équipés d'une couverture de verre armé au-dessus des quais, ils offre l'apport d'un éclairage naturel tout en assurant la protection des voyageurs contre les intempéries. Bien entendu, un éclairage artificiel approprié complète l'ambiance des salles d'attente et locaux de service qui sont en cours de rénovation. Vue côté parking, la dalle est recouverte d'un revêtement en asphalte et protégée sur son pourtour et au niveau des hauts jours par un garde-corps de 1,55 m assurant la protection électrique. La liaison entre la dalle et le bâtiment de la gare au-dessus du quai 1 est réalisée à l'aide d'un écran translucide en verre armé. Vue côté quai, la dalle supporte, d'une part, les caténaires audessus des voies et, d'autre part, des rampes d'éclairage fluorescent linéaires complétant l'éclairage naturel. La signalisation voyageurs a été également modernisée par l'installation de caissons lumineux présentant les informations nécessaires à la clientèle. Enfin, il est intéressant de préciser que la construction de cette dalle-parking a été réalisée avec le constant souci de ne pas modifier l'aspect général de la gare. Le résultat le plus frappant est que cette installation n'est absolument pas visible depuis la place de la gare. Même la rampe hélicoïdale a été encastrée le plus possible dans le quai n° 1 pour qu'elle s'intègre au mieux dans la cour arrivée. L'accès à la dalle se fait, pour les piétons, par deux ascenseurs débouchant directement soit sur le quai 1, soit dans la galerie marchande du bâtiment voyageurs. Quatre escaliers (un de service et trois de secours) permettent également d'accéder au parking. Pour les véhicules, une rampe hélicoïdale de 27,5 m de diamètre a été aménagée, côté Nancy, entre l'aile sud du bâtiment de la gare et le centre de tri postal. Cette rampe comporte deux voies séparées (montante et descendante) et, en deux tours et demi elle amène les voitures à 12,50 m au-dessus du niveau de la cour de la gare. Après la construction de chacune de ces deux dalles, ont été entrepris les travaux de démolition et démontage des anciennes halles. L'ensemble des travaux a débuté en novembre 1974 et, dès le 1" décembre 1975, la première partie du parking était ouverte au public, offrant 250 places de stationnement aux voyageurs et également aux utilisateurs occasionnels. La deuxième partie devrait pouvoir être ouverte dès le mois de juillet 1976 et ce sont alors 650 places qui seront offertes aux automobilistes, voyageurs ou autres. Faisant appel aux techniques les plus modernes, l'exploitation du parking est entièrement automatique. L'accès est commandé par une barrière automatique délivrant un ticket magnétique. Avant de reprendre son véhicule, l'automobiliste présente son ticket à une calculatrice électronique qui calcule, affiche et perçoit la somme nécessaire, puis lui restitue le ticket magnétique qui permettra de faire fonctionner la barrière de sortie située en haut de la rampe hélicoïdale. Depuis l'ouverture de la première tranche de 250 places, l'occupation est allée en croissant avec un volant moyen journalier en semaine de 150 voitures. Il faut remarquer également que la tarification prévoit une possibilité d'abonnement mensuel ou annuel et que, depuis son ouverture, le parking compte déjà 150 abonnés au mois ou à l'année sur les 250 places offertes. LA MODERNISATION A L'INTÉRIEUR DU BÂTIMENT VOYAGEURS Mais cette opération du « parking sur le toit » n'est en fait que la première phase d'un ensemble de travaux de modernisation de la gare de Metz. D'ores et déjà, on peut dire que, lorsque le chantier parking sera terminé, c'est dans le hall départ que commenceront les importants travaux de réaménagement des services voyageurs. Le bâtiment de la gare présente un schéma fonctionnel remarquable et parfaitement adapté au trafic actuel. En effet, les voyageurs au départ et à l'arrivée, les bagages, les sacs postaux ne se croisent jamais autrement qu'à deux niveaux différents. Les passages souterrains (deux pour les voyageurs, deux pour les bagages et un pour la poste) utilisent rationnellement la différence de niveau entre la plate-forme ferroviaire et la ville. Ils ont accès sur un vestibule départ et un vestibule arrivée accessibles de près grâce à une cour en retrait et reliés par une galerie marchande abritant les services annexes du transport (banque, agence de tourisme, buffet, bibliothèque, etc.). Mais si le gros oeuvre ne nécessite pas de remaniement profond, la modernisation des installations du vestibule départ permettrait de donner à la gare, point d'attraction d'un quartier important, l'aspect et le « confort » que l'on peut attendre des édifices plus modernes. Ainsi, l'accès au vestibule, qui se fait actuellement par trois doubles portes monumentales et massives en bois, sera facilité par l'installation de portes vitrées automatiques. Les portes d'origine seront toutefois conservées, mais maintenues ouvertes, pour ne pas modifier l'esthétique de la façade. Les services voyageurs dans ce vestibule, guichets, billets, réservation des places, informations, trains autos couchettes, bagages départ ont été installés et se sont développés au fil des années au point que leur homogénéité n'est plus évidente. |
Les quais sont éclairés par les hauts-jours laissés dans la dalle qui supporte un éclairage linéaire fluorescent. (Photos Schontz) Les deux calculatrices électroniques installées au pied des ascenseurs dans la galerie marchande. Elles sont complétées au centre par deux appareils changeurs de billets et de pièces. La rampe hélicoïdale en cours de construction entre l'aile sud de la gare et le centre de tri postal. Elle corrige une différence de niveau de 12,5 m. Le vestibule départ dans son état actuel. Tout ce côté sera transformé en un ensemble commercial voyageurs (billets, réservations, TAC, renseignements, etc...) ainsi que le montre la maquette ci-dessous. |
Le plan de modernisation prévoit le regroupement de tous ces services en un vaste ensemble commercial voyageurs situé sur la gauche du vestibule et comprennent les points de vente des billets, des installations de réservation des places, les ventes de transports TAC et un service de renseignements dans un module semi-circulaire. Ces installations entraîneront le déplacement du service des bagages départ vers l'extrémité nord du bâtiment principal permettant de créer une galerie plus longue que l'actuelle et qui sera bordée de vitrines contenant les affiches du type continu, à commande électrique. Devront être supprimés également l'actuelle librairie et le comptoir buvette qui seront reportés sur la partie droite laissée par les guichets voyageurs et où sera aménagé un ensemble de services annexes. L'accès aux quais se fera par le souterrain départ dont l'entrée est commandée par des portes vitrées à ouverture automatique (qui sont déjà en place) et par trois escaliers mécaniques (sauf pour le quai n° 1). |
L'affichage des horaires, tant dans le vestibule départ que dans le souterrain et sur les quais sera réalisé par télépancartage commandé depuis le poste d'aiguillage (PRS) de la gare. L'ensemble des services voyageurs bénéficiera d'une climatisation complète et d'un éclairage d'ambiance approprié. Ces installations entraîneront, pour les agents, la réalisation de locaux de services plus modernes et plus fonctionnels. L'ensemble de ces travaux réalisés grâce aux efforts consentis par la municipalité et la S.N.C.F. devraient permettre de rendre plus agréable et plus « fonctionnelle » encore aux quelque 1 500 000 voyageurs qui l'empruntent chaque année, cette monumentale gare, carrefour ferroviaire international, et édifice caractéristique de la ville de Metz. |
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