Samedi 16 janvier 1909
Le cinématographe Hirdt avait de nouveau cette semaine une magnifique série de représentations, les unes gaies, les autres dramatiques, à tirer les larmes des yeux. Au nombre de ces dernières appartient la scène d'adoption du petit enfant par le vieux prêtre qui le trouve devant la porte de sa maison. Plus d'un spectateur pleurait au déroulement de cette petite pièce, d'une invention aussi originale que vraisemblable.
C'est une récréation innocente et qui convient bien à la triste saison que nous traversons en ce moment ; nous ne pouvons qu'engager les lecteurs à s'y rendre au moins une fois par semaine, à chaque changement de programme. Ils ne regretteront pas leur argent.

Cinématographe HIRDT
Programme du 23 au 29 janvier.
La riche flore du Ceylan, Ravissantes reproductions d'après nature.
Démangeaison nerveuse de la langue, ultra-comique.
La chauffeuse, Aventure d’auto humoristique.
Moscou sous la neige, Nouvelles reproductions, superbe paysage d’hiver.

NOUVEAU !!!
Le tremblement de terre en Sicile.
Messine et Reggio.
Reproduction originale et unique.
Dans l'ivresse, Rire fou.
Le tirage de la cheminée, Scène comique.
Les joyeux compères, Humoristique.
La lettre anonyme, Drame poignant (les aventures de la grève).

Samedi 23 janvier 1909
Au cinématographe Hirdt. – Programme exceptionnel à partir de ce jour. La Direction s’est imposée les plus grands sacrifices pour se procurer tous les détails du cataclysme italien. C’est donc une occasion extraordinaire qui s’offre au public de voir l’aspect actuel des régions éprouvées et de se rendre compte des péripéties de cette épouvantables catastrophe.

Samedi 30 janvier 1909
Le cinématographe Hirdt jouit cette semaine d’une faveur extraordinaire de la part du public. C’est sans doute grâce à la magnifique série de vues qu’il donne des suites de la catastrophe de Messine et des environs.
Cette série ne sera plus donnée pour le moment et jusque vendredi inclusivement. C’est à quoi nous rendons les lecteurs attentifs.

Samedi 6 février 1909
Le cinématographe Hirdt. – Des pièces toutes fort intéressantes qui se donnent cette semaine, il y en a une qui mérite d’être visitée pour elle-même, c’est la trace sanglante, grand tableau artistique, préparé spécialement pour le cinématographe, sur la scène de la Comédie Française à Paris. Le drame se joue à Paris et rend de la façon la plus naturelle la vie, telle qu’elle de passe dans cette capitale. La représentation dure une bonne demi-heure. Outre cette pièce, il y a deux autres scènes humoristiques qu’une gaîté folle, de sorte que ceux qui n’y rendraient pas une visite cette semaine perdraient l’occasion de s’amuser.

Jeudi 11 février 1909
Au cinématographe Hirdt, on assiste chaque semaine à des scènes nouvelles de représentations qui ne laissent rien à désirer sous le rapport du choix des sujets. Ainsi on peut y voir cette semaine un drame : « La Mère », pris dans la vie pratique et qui ne peut que produire un excellent effet sur le caractère des assistants. C'est un réel plaisir d'y contempler les acteurs qui jouent avec des gestes et des attitudes qui feraient grand honneur à un théâtre réel.
Non moins intéressant est le tableau : « Le chien comme gardien de banque ». Cette pièce ne manque jamais d'accueillir les applaudissements des spectateurs, surtout des petits.
Comme nous l'apprenons, il y aura aussi cette semaine une nouvelle vue prise sur place dans les ruines du Sud de l’Italie. Enfin, prochainement on pourra y voir l'entrée et la réception du coupe souverain d'Angleterre à Berlin.
Comme on le voit, toujours du nouveau, où l'utile se trouve uni à l'agréable.
Allons donc voir le cinématographe !

Vendredi 12 février 1909
Allons-y voir ! - Avez-vous vu l’entrée triomphale du roi Edouard VII à Berlin ?
Non. Eh bien ! moi, je l'ai vue, et je puis vous dire que c'était un spectacle magnifique et que les Berlinois avaient splendidement fait les choses. Dès la sortie de la gare... Mais voilà que j’allais me mettre à vous en faire une description, comme s'il ne tenait pas à vous d’y voir la même chose ce soir, de vos propres yeux. Allez donc au cinématographe Hirdt, et, parole d'honneur ! lorsque vous en reviendrez, il en faudra un éloquent pour vous détromper et vous faire croire que vous n'avez pas été à Berlin, et que vous n’avez pas vu de vos yeux la réception du couple souverain d'Angleterre.
Vous le voyez passer avec son bon gros sourire bon enfant, comme si vous alliez le toucher du doigt ; vous levez, comme les Berlinois, votre chapeau, et, tout à coup, la salle, sans le faire exprès, se met à crier « Hourrah » !
Vous verrez bien d'autres encore qui, toujours vous intéresseront au dernier point, entre autres la course entraînée des centaures modernes, une école de cavalerie prise sur le vif de ses exercices au milieu des montagnes.
Tout cela entrecoupé de scènes dramatiques et de scènes comiques qui vous font un moment oublier les soucis de l’existence réelle.
Cela distrait, cela instruit, cela fait rire, et cela fait pleurer.

Panorama d'Algérie, prise d'après nature.
Un Monsieur indécis, très humoristique.
Les Cinq sens, Très intéressant.
Chauffeur et femme cocher, scène comique.
Satan sédusteur, risible.
 

Lundi 22 février 1909
Le cinématographe Hirdt. – Samedi dernier, affluence aux représentations du soir. La salle était comble ; il y avait beaucoup de gens de la campagne. Le programme est absolument nouveau, et mérite, cette semaine, l’attention des amateurs. Il y en a pour tous les goûts, depuis le rire jusqu'aux larmes.
« Le chauffeur et la cochère » est une de ces pièces qui provoquent dans toute l’assistance une hilarité irrésistible. Il en est à peu près de même « du diable séduit » qui n'a pas honte d’abandonner sa femme seule aux enfers, pour s'en aller faire en automobile un tour avec sa bonne amie dans le monde des simples morts.
Comme pièce sérieuse, magnifique, il y a « cœur d’enfant », se terminant par la réconciliation du père avec la mère, animée par les démarches de la gentille petite fillette. Il y a eu de vrais bravos et de vraies larmes.

Lundi 1er mars 1909
Le cinématographe Hirdt jouit chaque semaine davantage des faveurs du public.
Samedi, à partir de 1'ouverture il n'a presque pas désempli jusqu'à 11 heures. Et réellement il le mérite.
Dès qu’on s’approchait de la porte d’entrée, on entendait fuser les rires dans l’intérieur de la halle et quand on y pénétrait, on ne pouvait s’empêcher de faire comme les autres, c'est-à-dire de se mettre à rire, comme on n'avait pas ri depuis longtemps.
Sur la toile se débattait le pauvre homme qui, le jour du nettoyage, cherche dans sa vaste maison un tout petit coin où il puisse lire son journal en repos. Mais il n'y parvient pas, le balai l’impitoyable balai, se trouve partout où il se réfugie. Et ses gestes sont si comiques, qu’ils font rire.
Il en est de même du veuf inconsolable, etc., etc.
Un drame de la vie réelle ; la misère est en cause et une série de tableaux très nouveaux et très instructifs.
« L’éventail », scène d’un magnifique coloris, où se substitue une véritable féérie. On croit vivre un comte des mille et une nuits.
C’est très bien, il ne faut pas manquer d’aller voir ce programme !

Jeudi 4 mars
Cinématographe Hirdt. La direction de l'établissement de la rue Serpenoise a composé pour cette semaine un programme particulièrement intéressant. Parmi les plus belles reproductions il y a lieu de citer « Ce que sera une future bataille navale » où l'on assiste aux évolutions des navires de guerre, aux manœuvres de débarquement ainsi qu'au lancement d'une torpille. « La fille du braconnier » est un drame saisissant qui rencontre un gros succès. « Le petit boulanger » provoque le fou rire par ses facéties endiablées, et on assiste enfin à de très intéressantes excursions sur le littoral italien. Les vues sont d'une admirable précision et d'une grande netteté.

Lundi 8 mars 1909
Le cinématographe Hirdt. – Samedi soir, c'était le renouvellement du programme. Aussi avait-il attiré une assistance considérable. A un moment donné, vers neuf heures du soir, la salle était tellement bondée qu'on ne pouvait plus ni entrer ni sortir.
Cette fois, les scènes humoristiques abondent et se recommandent toutes, par leurs excentricités, aux amis du franc rire. Allez voir « Le Barbier du Régiment», « La Lampe », « L’Agent de police électrique », « Le Spectre dans la maison », et je vous assure que vous vous amuserez pour votre argent.
Comme leçon de choses instructives, vous aurez la vue des contrefort, de l'Himalaya, et puis une scène dont vous avez déjà maintes fois entendu parler, mais que peu d'entre vous ont vue : « Un combat de taureaux dans les arènes de Nîmes », tableau vivant, gris d'après nature et qui vous présentera la chose comme si vous vous trouviez au nombre des spectateurs qui agitent leurs mouchoirs sur les gradins de l'amphithéâtre.
Allez-y et, cette fois encore, vous en reviendrez satisfaits.

Lundi 15 mars 1909
Le cinématographe Hirdt. – Comme toujours, le nouveau programme, exécuté samedi soir, avait attiré beaucoup de monde.
Un des numéros les plus intéressants, intéressants précisément parce que d’un cocasse achevé, c’est la collection diplomatique, c'est-à-dire la série des chefs d'Etat européens, présentés à tour de rôle sur la toile par une espèce d'enchanteur qui les fait surgir de toutes pièces, parfaitement ressemblants ; mais en même temps d'un ridicule achevé.
Pauvres souverains ! on les caricature !
Les grimaces qu'ils font au public ressemblent à ces cauchemars qui vous étreignent parfois dans votre sommeil et dont vous ne parvenez pas à vous délivrer.
« L'Homme et la Mort », un rêve qui transporte l’homme dans les sphères éthérées, à la porte du paradis, gardé par le bon saint Pierre, puis au milieux des anges et des chérubins aux ailes d’argent, mérite aussi qu’on se dérange pour aller le voir.
Les tableaux de la construction des navires au Danemark offrent aussi un puissant intérêt à tous les spectateurs.

Lundi 22 mars 1909
Le cinématographe Hirdt. « Les présents de la fée », féerie superbe, agrémentée de couleurs les plus fines et les plus variées a ce samedi et hier pendant toute la demi-journée, fait les délices des visiteurs qui se sont succédé sans nulle interruption et qui ont tout le temps occupé toutes les places, depuis la première jusqu'à la dernière.
Le panorama géographique nous a donné l’idée de ce qu’est en cette saison la magnifique campagne romaine.
Ceux qui aiment rire de bon cœur verront avec plaisir la scène comique de l'homme qui voit partout des agents de police. Plus il court pour les éviter, plus il en rencontre, il en déniche jusque dans son lit, et finalement lui-même, au fur et à mesure qu’il change de vêtement, finit aussi par passer dans la peau de ces agents de police qu’il déteste tant.
Le petit Hans comme automobiliste, est aussi à faire pouffer de rire. La vengeance du forçat, une scène touchante qui vous arrache presque les larmes des yeux.
Mais le clou de cette série est sans contredit le grand drame « Retrouvé », scène qui vous transporte en Corse et nous fait assister à une de ces scènes de sauvagerie, telles qu'elles ont toujours existées telles qu'elles existent encore maintenant dans ce pays qui s’y prête on ne peut mieux par … formation.
Les péripéties de ce drame sont des plus saisissantes.
Cette série est une des mieux réussies que nous ayons vues jusqu’à présent.

Cinématographe Hirdt. - Cet intéressant établissement a passé en d'autres mains. Il a été acheté par M. Emile Nutz, qui y fait procéder actuellement à des travaux de restauration et d'amélioration, sans que les représentations en souffrent. M. Nutz prendra la direction de l'établissement à partir du 1er avril.

Lundi 29 mars 1909
Le cinématographe Hirdt. - On a de nouveau bien ri samedi dernier à la première représentation du nouveau programme.
La belle-maman qui a la vie dure en a vu de toutes les couleurs, et malgré tous les efforts que fait son gendre pour s'en débarrasser, elle ne le voit pas, ou finit de ne pas le voir, et l’accable à chaque nouvelle revue des démonstrations de son amour. C'est terrible pour le gendre, et pour les assistants c’est désopilant.
Désopilant aussi « l'apprenti ferblantier », « l'enlèvement étrange » et plus encore « le nouveau valet de chambre », qui sert les convives en faisant virevolter les plats, les verres et les bouteilles, en cent tours d'équilibristes plus drôles les uns que les autres.
La Bohémienne constitue une scène dramatique de premier rang, et ceux qui aiment l'horrible, le fantastique, le surnaturel, peuvent en repaître leurs regards dans la caverne des revenants qui à l'heure de minuit se mettent à danser des sarabandes véritablement infernales.
On se demande comment la maison Pathé peut s'y prendre pour produire des tableaux d'une vie si réelle et si fantastique ?

Mardi 13 avril 1909
Le cinématographe Hirdt.- Très intéressant cette semaine, le programme du cinématographe ; aussi pendant ces trois jours de fête à partir de samedi soir, le public faisait queue pour attendre son tour, et chaque fois les places étaient remplies jusqu’à la dernière.
En premier lieu on y voyait le « Diable et son Forgeron », tableaux fantaisistes et magiques qui excitent l'admiration et à la vue desquels le spectateur se demande comment le technicien peut arriver à fixer sur ses plaques des scènes que l'imagination même a peine à se représenter.
Le « Créancier opiniâtre », qui poursuit son débiteur dans tous les coins et par tous les moyens, « l'homme qui a oublié son parapluie », « les pilules de vigueur » vous feront rire jusqu'aux larmes.
Le panorama de la Corse vous donnera sur ce pays des notions géographiques fort intéressantes, tandis que « Dans l’abîme » et le « Croisé aveugle » exciteront au plus haut point votre intérêt et vous y serez saisis d’une poignante émotion.

Mercredi 5 mai 1909
Le cinématographe Hirdt. – Malgré les attraits de la foire, le cinématographe Hirdt continue de tenir en éveil la curiosité publique et d’attirer à ses représentations sa clientèle ordinaire, qui tient chaque fois à comparer les beautés du nouveau programme avec celles de l'ancien. Et vraiment, ce sont chaque fois de nouvelles surprises ; chaque fois un nouveau genre d'invention et de nouveaux motifs de gaîté et de véritable bonne humeur.
Ainsi pour ceux qui aiment de pâmer, ils y trouveront de quoi dans « Le distrait », « Je n’ai pas de frac », « L’amoureux opiniâtre ».
Le panorama du cap de Bonne-Espérance, la vue sur la pointe du sud de l'Afrique, dont on nous a tant parlé sur les bancs de l’école, nous pouvons nous en faire une idée tout aussi exacte que si nous y avions été nous-mêmes.
« La peur » scène du dernier dramatique, où le remords ne laisse au criminel ni paix, ni trêve, satisfera les plus difficiles parmi les chercheurs de violentes émotions. Allez-y voir ! Il y en a pour tous les goûts.

Mardi 18 mai 1909
Le cinématographe Hirdt. – Nous parlons, non celui de la foire, mais du cinématographe habituel, celui de la rue Serpenoise. Malgré les attractions d'autre part, il n'a pas cessé de plaire et, samedi et dimanche derniers, il avait attiré un grand nombre de visiteurs grâce aux curiosités annoncées dans son nouveau programme. « La ruse du détective », « L'enfant courageux », « La part des pauvres », excitent au plus haut point l'intérêt des spectateurs. Il en est de même du jongleur, tableau colorié, et si naturellement représenté qu'on dirait véritablement avoir devant soi un homme véritable en chair et en os.
Pour ceux qui aiment s’instruire sur des choses qui leur sont encore inconnues, il y a la bataille navale, et la fabrication en grand des biscuits, qui vous donne la tentation d'étendre la main et de vous en régaler, tout comme la fillette de la dernière scène.

Samedi 22 mai 1909
Le cinématographe Hirdt offre cette semaine un programme particulièrement intéressant. La direction ne ménage ni sa peine ni son argent pour rendre ses séances de plus en plus attrayantes et il faut dire qu'elle a la main particulièrement heureuse dans le choix de ses morceaux.
Nous y avons vu les rochers de Sorrente, et ils nous rappelaient par leur naturel les superbes stances du poète Lamartine, intitulées : « Le Lac ». La mer y déroule en effet sous vos yeux, ses flots bleus au pied des orangers.
Le déménagement, le sot comme le lutteur, surtout l’homme aux longues cornes, scène burlesque de longue durée, font éclater dans l'assistance les rires à haute voix, malgré le rappel à l’ordre des surveillants.
Vous n'avez jamais rien vu de plus comique.

Mardi 1er juin 1909
Le cinématographe Hirdt. – Voilà les cinématographes de la foire partis pour un an, mais il nous reste celui de la rue Serpenoise, qui continue à distraire agréablement ceux qui veulent bien l'honorer de leur visite. La direction ne néglige rien pour lui donner tout l'intérêt que doivent éveiller des exhibitions de ce genre. Ainsi cette semaine doit arriver à tout moment le cylindre représentant les scènes historiques de l'empereur Napoléon Ier dans ses relations avec Joséphine. Ces tableaux ne manqueront pas d'attirer la foule des spectateurs ; car c’est de l’histoire de France, et à ce titre il faut que les indigènes aillent la voir. Mais, en attendant, même avant l'arrivée de ce tableau, ceux qui sont au programme méritent d’être vus. « Le détenu », « Le Renégat » sont des scènes parfaitement représentées et qui vous vont jusqu'au cœur. « L'ivrogne qui cracha des flammes », « Le candidat au mariage » sont des images d'une irrésistible gaîté. Malgré 1e beau temps qu'il fait au dehors, allez quelquefois au cinématographe. C’est une distraction, qui coûte peu et qui repose du travail journalier.

Mercredi 9 juin 1909
Cinématographe. La maioson Hirdt ouvre à partir du 1er juillet, une succursale dans la grande salle du restaurant "A la Couronne" de la rue des Jardins, afin de faciliter la visite de ses représentations aux personnes qui demeurent loin de la rue Serpenoise. Nous souhaitons bonne chance à la nouvelle entreprise.

Mardi 30 juin 1909
Le cinématographe Hirdt. – Depuis l'arrivée du mauvais temps, que faire pour passer agréablement une heure de loisir ? Où se rendre ?
Au cinématographe.
Le programme de cette semaine ne le cède en rien à celui des semaines précédentes. La noce joyeuse, la canne magique, vous amuseront énormément.
Don Carlos vous mettra sous les yeux une de ces scènes de l'histoire moderne qui vous initiera aux intrigues, telles qu'elles se passent dans maintes cours souveraines.
Le démon alcool est un drame des plus touchants, pris dans le domaine de la vie habituelle et qui a déjà fait couler les larmes des yeux de maint spectateur.